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SOCIOLOGIE ECONOMIE 

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J’ ai été très impressionné par cette interview d’Ariane Bilheran, autrice et Docteure en philosophie morale et politique, en psychopathologie ,franco-colombienne, basée en Colombie.

Elle présente un éclairage avec une grande liberté d’expression sur les événements des deux dernières années et propose son analyse des évolutions de nos sociétés capitalistes dans cette période difficile de survie pour beaucoup: dérive totalitaire, ploutocratie, société du spectacle, confusion entre artificiel et authenticité, recherche de plaisir immédiat, narcissisme, absence d’exigence, évitement de la frustration, novlangue, dégénérescence morale, affaiblissement du système éducatif, retour de la « banalité du mal », soulevée par Hannah Arendt.

https://youtu.be/qMMVIppx-Qw

Elle décrit les mécanismes de résilience et de résistance, en particulier chez celles et ceux qui avaient déjà vécu des expériences traumatiques et qui ont appris à surmonter leurs peurs.

Elle dresse un constat grave qui doit nous interroger au plus profond sur nos motivations de vie, sur nos valeurs.

En cette période politique charnière dans quel monde allons nous accepter de vivre ?

De quelle façon individuellement et collectivement allons-nous surmonter ces obstacles et épreuves ?

Quelles limites allons nous poser aux destructions actuelles de ce système qui n' en a de moins en moins ?

Si le confort matériel continu d être supprimé pour beaucoup, quelles seront nos réactions et pulsions de vie?

Pour Ariane, il faut tout repenser, réfléchir à l'essentiel qui fait de nous des humain-es, à nos missions de vie, à ce qui importe vraiment si jamais nous perdons tout, remettre le don inconditionnel et la charité au sein de notre société, se mobiliser, entre autres, pour que le legs de nos ancêtres en terme de droits fondamentaux ne soit plus remis en cause.

Le destin de notre pays est entre nos mains.

Posons-nous les bonnes questions et continuons à faire circuler l'information et à débattre face à un gouvernement et certains médias qui ont anesthésié ou polarisé les échanges et qui font tout pour que la population se taise ou s'autocensure.

Elle cite Guy Debord, Slobodan Despot, Reiner Fullmich, Pierre Barnérias, Hegel, Nietzche, ,Liliane Lurcat, Jean-Paul brighelli, Condorcet, Giorgio Agamben, Hannah Arendt, Mark Mc Donald, Soljenitsyne, Bergson, et même Saint-François d'Assise qui lors d'une épidémie de lèpre, mis l'assistance à la population, la prévalence de l'humanité, et l'amour au dessus des risques qu'il prenait en visitant les malades.

Elle aurait pu citer aussi Barbara Ziegler, Jiddu Krisnamurti qui alertait sur la maladie de notre société ou Naomi Klein et son livre sur la stratégie du choc , qui date de .....2007 !

Le moins que l'on puisse dire c'est que les chocs n'ont fait que s'amplifier,...... jusqu'à aujourd'hui.

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La Stratégie  du choc -Naomie klein : 

http://anthropopedagogie.com/wp-content/uploads/2019/01/La-strategie-du-choc-Naomi-Klein1.pdf

 

Milton Friedman, à partir des années 80, a diffusé une stratégie économique ultra libérale, notamment à Reagan et Thatcher. 

Elle consistait à imposer immédiatement après une crise et un trauma collectif, les réformes économiques douloureuses, avant que les gens n' aient le temps de se ressaisir.

Il qualifiait cette méthode de "traitement de choc".

Ils ont ainsi utilisé cette méthode là pour reporter les réglementations anti énergies fossiles, annihiler la contestation écologique, sociale et sociétale de ces années là, généraliser la mondialisation au plus bas coût et financiariser la société.

De nouveau, cette stratégie nous frappe de plein fouet. 

Depuis des années, Jiddu Krisnamurti et, en France, Barbara Ziegler, nous alertent sur les paradoxes et les maladies de la société moderne, à laquelle, pour rester en bon équilibre, il conviendrait de ne plus s' adapter, au contraire des règles "normales"  de la psychologie. 

Naomi Klein a publié en 2007 " la stratégie du choc" : la montée d' un capitalisme du désastre".

Elle expliquait, comment ce système a réussi à se maintenir, malgré ses déséquilibres structurels.

Dans ce domaine, Marx avait vu juste et annoncé que cette course sans limite aux profits finirait par créer leur propre perte.

Mais il avait sous-estimé leur cynisme : esclavage, colonisation, mondialisation forcenée, crises ,guerres, bulles spéculatives, planche à billet...

Ils ont très souvent réussi, même, artificiellement à remettre en cause la loi des cycles économiques de Kondratiev.

Aujourd'hui ils construisent des bunkers haut de gamme et des véhicules spatiaux !

Après avoir expérimenté, dans la réalité, l' organisation " orwelienne" du "crédit social" à l' échelle d' un peuple d' 1.3 milliards de chinois.

Pendant des millénaires, c' était pourtant une des civilisations humaines terrestres, les plus avancées et sophistiquées. Ils l' ont littéralement enfermée dans ses propres maisons et frontières, quand ce ne sont pas des centres de « rééducation « .

On teste, ailleurs, depuis 2 ans, le degré de souffrance et de soumission dans certaines zones symboliques clés, historiquement en pointe dans les luttes sociales et politiques, comme les Usa, l' Inde, Israël, la France, la Suisse, l' Italie, les Pays-Bas, la GB, l' Allemagne, la Scandinavie, l' Amérique latine et d' autres.

A qui profite toutes ces crises ?

1914, 1929, 1940, 1973, 1980, 1987, 2001, 2008, 2020 …

Sûrement pas aux humains, aux autres espèces vivantes et à la planète. Nous considèrent-ils comme des composantes négligeables du grand échiquier mondial, qu' il convient de garder corvéables et rentables? 

Milton Friedman, from the 80s, disseminated an ultra liberal economic strategy, notably to Reagan and Thatcher.

It was to impose painful economic reforms immediately after a crisis and collective trauma, before people had time to pull themselves together. He called this method "shock treatment".

 

They thus used this method to postpone anti-fossil fuel regulations, to annihilate the ecological, social and societal protest of those years, to generalize globalization at the lowest cost and to financialize society.

 

Once again, this strategy hits us hard. For years, Jiddu Krisnamurti and, in France, Barbara Ziegler, have alerted us to the paradoxes and the diseases of modern society, to which, in order to stay in good balance, it would be better not to adapt any more, contrary to the basical logic of psychology, in normal conditions. 

 

Naomi Klein published in 2007 "The Shock Strategy": The Rise of Disaster Capitalism ". She explained how this system managed to maintain itself, despite its structural imbalances.

In this area, Marx was right and announced that this limitless race for profits would end up creating their own loss. But he had underestimated their cynicism: slavery, colonization, frenzied globalization, crises, wars, speculative bubbles, money printing ... They have very often succeeded, even, artificially, in challenging Kondratiev's law of economic cycles.

 

Today they are building top-of-the-range bunkers and space vehicles!

After having experienced, in reality, the "Orwelian" organization of "social credit" on the scale of a people of 1.3 billion Chinese. For millennia, however, it was one of the most advanced and sophisticated human civilizations on earth. They literally locked it up in its own houses and borders, when they are not "re-education" centers.

 

For the past 2 years, we have been testing elsewhere the degree of suffering and submission in certain key symbolic areas, historically at the forefront of social and political struggles, such as the USA, India, Israel, France, Switzerland, Italy, the Netherlands, the UK, Germany, Scandinavia, Latin America and others.

 

Who benefits from all these crises? 1914, 1929, 1940, 1973, 1980, 1987, 2001, 2008, 2020 ...

Certainly not humans, and other living species and the planet. Do they consider us to be negligible components of the grand world chessboard, which should be kept as corveable labor and as profitable as possible ?

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La philosophe Barbara Stiegler, enseignante chercheuse à l'Université de Bordeaux,  nous rappelle quelques principes fondamentaux, dans une tribune du 8 janvier 2022.

"Depuis quinze ans, j'enseigne l'éthique et la santé publique à des soignants qui viennent se former à l'université. Ensemble, nous essayons de comprendre pourquoi le «consentement libre et éclairé» s'est imposé comme la clé de voûte de l'éthique biomédicale. Pourquoi il permet de compenser l'asymétrie, potentiellement dangereuse, entre les patients (ou les sujets sains d'une expérimentation) et le pouvoir médical. Pourquoi il ne peut être libre que s'il est recueilli sans chantage, ni menace, ni pression psychologique d'aucune sorte - condition indispensable pour qu'il ne soit pas «extorqué». Pourquoi on ne peut dès lors jamais conditionner l'accès aux soins à l'acceptation du traitement proposé et pourquoi un patient qui refuserait de donner son consentement ne peut être, sous ce prétexte, exclu du système de soin. Pourquoi plus généralement, et contrairement aux dernières allégations d'Emmanuel Macron qui violent tous les principes de notre contrat social, les droits du citoyen ne peuvent, à aucun titre, être conditionnés par l'invocation de devoirs antécédents. Pourquoi enfin le recueil du consentement interdit tout recours à l'argument d'autorité du type : «Obéissez, car c'est moi, ou plutôt les autorités sanitaires, qui savons ce qui est bon pour vous !»

La liberté au sens où l'entendent les Lumières, mais aussi la loi dite «Kouchner» du 4 mars 2002 relative aux droits des patients et à la démocratie sanitaire (elle-même héritée d'une autre épidémie, celle du virus du sida), est fondée sur la capacité de raisonner par soi-même que l'on doit prêter à tous les citoyens majeurs (ou en voie de l'être), quelle que soit leur croyance ou leur niveau d'éducation. Tous les sujets appelés à consentir doivent être considérés par principe, et que cela nous plaise ou non, comme des sujets rationnels, aptes à délibérer ensemble et de manière contradictoire de la vérité et de la chose commune (res publica), sans qu'aucun tuteur de l'humanité ne puisse édicter à leur place le bien commun (1).

Défense d'un système de soin collectif

C'est très précisément cette liberté-là qui, dans les cortèges contre le pass sanitaire, a été invoquée par des milliers de soignants, vaccinés ou non, qui disaient leur refus de violer ces principes fondamentaux. Et c'est cet héritage de la pensée des Lumières que j'ai moi-même défendu en défilant à leurs côtés dans la rue. Contrairement à ce qu'ont insinué certains propos diffamants, cette liberté est l'exact opposé de celle des libertariens et des soutiens de Donald Trump, pour qui toute considération de la chose commune menace l'individu souverain dans l'illimitation de ses désirs. Réduire les immenses cortèges de cet été à des foules haineuses, irrationnelles et indifférentes au bien commun aura été l'une des opérations médiatico-politiques les plus malhonnêtes de cette crise sanitaire.

Mais c'est aussi une certaine idée de la santé publique qui m'a déterminée à me mobiliser avec des parlementaires et des acteurs et chercheurs du domaine (2). Attachés à défense d'un système de soin collectif, nous savons que les autorités sanitaires doivent parfois imposer des mesures de prévention en les rendant obligatoires. Toutefois, dans le cas d'un produit de santé, cela n'est acceptable que si le bénéfice-risque est indiscutable et que s'il n'existe aucun autre moyen de protection.

Or, dans la circonstance, on s'est mis à imposer la vaccination à tous sur la base d'un quadruple pari: celui d'une vaccination de masse censée 1) créer l'immunité collective et éradiquer les variants 2) protéger la vie d'autrui en empêchant les contaminations 3) ainsi que celle de tous individus vaccinés, comme s'ils étaient également vulnérables face au virus et identiquement protégés par le vaccin 4) tout en n'ayant aucun effet indésirable grave pour leur santé. Nous pouvons comprendre qu'une communauté de citoyens épuisés et gouvernés par la peur du reconfinement aient eu envie de croire à cette rhétorique de la promesse, même si nous-mêmes étions dès le départ très sceptiques.

Faire confiance au sens clinique des professionnels de santé

Mais à l'heure où la communauté scientifique croit elle-même de moins en moins 1) à la possibilité d'éradiquer le virus et à la conquête d'une immunité collective par ces vaccins 2) à l'argument «civique» de la protection de la vie d'autrui 3) au fantasme de la toute-puissance des doses dites «de rappel» censées «booster» des jeunes en pleine santé ( tandis que les publics à risque sont abandonnés à eux-mêmes face à Doctolib , avec une vaccination des plus de 60 ans parmi les plus faibles d'Europe de l'Ouest) (3), et alors même que les soignants sont bien obligés de constater la réalité de certains incidents post-vaccinaux (4), l'information censée éclairer le consentement n'a plus rien de «loyale» (comme le précise l'article 35 du code de déontologie médicale). L'imposition universelle d'un pass sanitaire puis vaccinal viole les principes fondamentaux de notre éthique, de notre santé publique et de notre droit, tout en entravant la vie de communautés entières de patients, sommés de choisir entre la crainte d'effets secondaires graves et leur propre liberté.

Une gestion sanitaire de cette crise est pourtant possible. Elle implique de redonner le pouvoir de prescription aux professionnels de santé eux-mêmes et de faire confiance à leur sens clinique, qui passe par la relation directe entre soignants et patients, dans le respect de l'éthique et de la santé publique. Puisque le vaccin n'est pas la panacée, cette gestion sanitaire suppose aussi de déployer un arsenal de mesures complémentaires et variées : une vaccination orientée vers les publics à risque de forme grave combinée avec les traitements, la prise en charge précoce des symptômes, la distribution massive de masques FFP2 pour les personnes ou les événements à risque et l'équipement de tous les bâtiments publics en systèmes d'aération efficace. Pourquoi les nouveaux libéraux qui ont pris le pouvoir dans notre pays s'obstinent-ils alors dans cette gestion inefficace et autoritaire ? Parce que le nouveau libéralisme qu'ils défendent est au pied du mur. En apportant un démenti cinglant aux promesses du néolibéralisme d'une «mondialisation heureuse», la crise écologique et sanitaire l'oblige à se réinventer dans l'urgence.

Mise au ban de la société

Le pass sanitaire et désormais vaccinal permet à cette idéologie, jusque-là hégémonique et qui commence tout juste à entrer en crise, de retomber discrètement sur ses pieds, en conjuguant : 1) la poursuite de la destruction des services publics de santé, d'éducation et de recherche par l'austérité et la gestion managériale de ses personnels; 2) le «solutionnisme technologique» avec son mantra de l'innovation, qui sert à la fois le capitalisme financiarisé du Big Pharma et celui du virage numérique universel, en créant les marchés faramineux de la e-santé, du e-learning et du e-commerce 3) la remise en cause de notre contrat social, avec la mise au ban de la société de millions d'individus déchus de leur citoyenneté (aujourd'hui les non-vaccinés, et bientôt tous les autres citoyens non observants ou jugés non méritants).

En déclarant fièrement «avoir très envie d'emmerder» jusqu'à les faire plier tous ceux qu'il ne peut pas «[lui-même] mettre en prison», Emmanuel Macron défend une conception de la politique telle qu'on peut la trouver chez le juriste allemand Carl Schmitt : celle fondée sur la partition amis-ennemis, avec d'un côté le chef de guerre et sa meute («nous») et de l'autre les ennemis de l'intérieur («eux») qu'il s'agit de «réduire», c'est-à-dire de soumettre ou d'annihiler. Invoquer la santé et la protection de l'hôpital public pour imposer cette vision effarante de la politique aura été l'une des opérations les plus perverses de ce quinquennat. Espérons que cela aura la vertu de réveiller tous les citoyens de ce pays, qu'ils soient vaccinés ou non, inquiets ou confiants devant cette innovation, mais qui restent attachés à une conception républicaine et démocratique de notre communauté politique."

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Je viens de découvrir le thérapeute et enseignant d' inspiration Essénienne Guilhem Cayzac.

Cette vidéo de fin 2017 est passionnante et assez prophétique. Il y explique:

- la succession dans l' histoire de périodes de densification et en parallèle des apparitions d' êtres humains ou prophètes dont les actions élevaient de nouveau la conscience de la communauté

-Le commencement du déracinement et du cercle vicieux lorsque l' humanité n a plus considéré la nature comme sacrée. Dieu n' était plus en toute chose, mais dans des lieux circonscrits et spécialisés, quelques sanctuaires avant de devenir de plus en plus lointain et abstrait.

-l' uniformisation des idées et de la spiritualité par des dogmes religieux qui instrumentent au lieu d' ouvrir chaque être à sa dimension intérieure et à son état de conscience divins dans une unité et une fraternité universelle.

Les déesses consommation et technologie, l' intelligence artificielle contre les lois universelles, la Terre-Mère, la spiritualité et l' intelligence du cœur.

Nous sommes aujourd’hui de nouveau dans une transition et à un nœud, un carrefour dans l' évolution.

Chacun-e doit faire en sorte par la loi d' attraction et la force créatrice de la pensée, d' agir dans le bon sens et dans celui du monde que l' on souhaite.

Se mobiliser pour que les humains conservent une indépendance d' esprit, la liberté de choix réelle.

Ne jamais renoncer.

Merci

Des Esséniens de Qumran aux Templiers; D’Enoch/ankh/Annuki, à Noé, Krishna, Zoroastre, Akhenaton, Moise, Elie, Numa.

De Pythagore, Bouddha, Lao Tseu, Platon, Jésus, aux Rose-croix, et plus récemment Peter Deunov ou Rudolf Steiner.

Etre Essénien, c 'est aussi un état de conscience , qui a refleuri régulièrement dans l'histoire, pour contrecarrer l 'adversité destructrice, "une Terre-sainte intérieure indestructible".

https://youtu.be/E8NarkFNOqY

Guilhem Cayzac, rappelle aussi, qu’en 1945, fut découvert, dans une jarre, caché dans un cimetière en Egypte, à Nag Hammadi, un codex en langue copte, qui contenait un « évangile selon Thomas »  qui daterait du IVe siècle.

Il ne comporte que des paroles attribuées à Jésus et, par chance, il fut transmis rapidement aux chercheurs et historien-nes, dans le tumulte de la fin de la seconde guerre mondiale, ce qui a permis sa traduction.

Contrairement aux « manuscrits de la mer morte « , découverts à Qumran, en 1947, qui avaient été cachés par les Esséniens, au moment de leur anéantissement par les Romains en 68 après JC.

Et pour lesquels, il fallu attendre près de 50ans pour avoir l' accès complet aux publications et traductions.

Sous le contrôle de l’Eglise catholique.

 

Lorsque l’on lit cet extrait de l' évangile de Thomas, on comprend mieux, pourquoi beaucoup d’écrits apocryphes ( non reconnus par l' Eglise) ont été « perdus » pendant des siècles et certains probablement retirés de nouveau des yeux de l' opinion publique.

Jésus a dit :

« Si ceux qui vous guident vous disent que le royaume de Dieu est au ciel, les oiseaux y seront avant vous.

S’ils vous disent qu’il est dans la mer, les poissons vous auront précédé.

Le royaume est plutôt à l' intérieur de vous et il est autour de vous.

Lorsque vous parvenez à vous connaître, vous serez connus et vous réaliserez que c’est vous les enfants du Père vivants ».

Ce message, comme beaucoup de paroles de Jésus, est toujours et o combien d actualité.

Les paroles de Jésus mettent en avant la lumière divine en chacun-e de nous, elles sont très positives mais aussi pleines d' ironie.

Il prône l' émancipation des êtres humains, la transcendance et la transfiguration du corps humain avec ses capacités exceptionnelles, le développement personnel intérieur, l' élévation de conscience, l’indépendance spirituelle, un discours encore révolutionnaire, car il remet en question, les bases même des religions monothéistes, leur clergé, aujourd’hui, comme à l' époque et met en avant des qualités d 'indépendance d'esprit et de liberté, très actuelles.

merci

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