EXOTERISME HISTORIQUE
AFRIQUE
d. Le serpent en Égypte
En Égypte, le serpent est abondamment représenté sur la hiéroglyphique des temples. Il se nomme uraeus et représente un cobra
femelle royal qui est la déesse Ouadjet, particulièrement pratiquée dans le nord du delta du Nil, à Bouto Boutô, homophone
de Puto Putho, ancien nom de Delphes et siège des Pythies. Ceci signifie que les Pythies avaient développé le pouvoir du
serpent Python, Puthon duquel elles tiraient leur don de prophétie.
Le cobra royal est le naja appelé en Inde naga car le son « g » peut être dur ou mou.
Par anagramme, on obtient ajna qui est le nom sanscrit du 3e œil. Or, le serpent uraeus est toujours posé sur cet endroit
dans la statuaire égyptienne, pour indiquer les pouvoirs psychiques des initiés qui pratiquent le serpent.
Les maîtres anciens prétendaient, à juste titre, que la déesse Ouadjet était protectrice des pharaons,
c’est-à-dire des initiés ayant reçu des dieux les pouvoirs psychiques et étant autorisés à les utiliser pour le bien des êtres.
Le serpent est aussi Apophis Ápophis (Sophia – paîs = déesse de la sagesse Sophia – enfant) associé au chaos car il représente
le serpent astrologique des douze constellations enfantant une incarnation terrestre. Il s’agit d’un acte de pure sagesse
car cette incarnation résulte des actions de la vie passée, qui correspondent à la partie matérielle et non purifiée du serpent
de la connaissance. Seule la déesse Sophia qui connaît la destinée de chacun peut programmer astrologiquement une incarnation.
merci au site :
https://www.morpheus.fr/le-culte-secret-de-la-deesse-sophia/
























