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  • Photo du rédacteurOlivier Clamaron

Afa-Klamath, chlorelle et spiruline: 3 micro-organismes, 3 super-aliments

Dernière mise à jour : 11 avr.

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Olivier Clamaron F-75011 PARIS

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Les microorganismes sont une source de vie, dans la terre, dans notre corps, comme dans la mer. Ils peuplent aussi nos océans, colorent nos marais et nos rivières.

Depuis quelques années, on a souvent parlé, de certains d'entre eux, devenues nuisibles, mais surtout reliées à nos propres pratiques excessives et pollutions.

Or, les phytoplanctons, microalgues font partie des premières substances vivantes apparues sur notre planète il y a plus de 3 milliards d 'années. Certains estiment leur nombre à 200 000 espèces différentes : une source potentielle énorme d'alimentation et de santé pour nous, car certains ont des propriétés autant nutritionnelles que thérapeutiques exceptionnelles et sont aujourd'hui étudiés par de nombreux centres de recherche.

De nombreuses études montrent que certains d 'entre eux sont un concentré de puissance bénéfique, antioxydants, antitumoraux, antiallergiques, antiinflammatoires, détoxifiants, protecteurs contre les métaux lourds, stimulants du système immunitaire, des cellules souches, des anticorps, des plaquettes sanguines et enfin de l'oxygénation du corps et des organes par leur action naturelle sur l'EPO. Ils limitent l'agrégation des plaquettes et régulent le cholestérol.

Ils sont aussi très riches en nutriments, protéines, vitamines ou acides gras omega 3. Tandis que les microalgues rouges porphyridium sont utilisées en cosmétiques pour leur pouvoir hydratant, régénérant de la peau et purifiant.

La spiruline est une cyanobactérie microscopique ( 0.1mm), connue depuis des millénaires dans les lacs de certaines régions tropicales en Inde, Afrique, au Mexique, en Chine, Equateur, au Tibet, dans les Andes.

Riche en protéines (50 à 70 % , 5 fois plus que le blé), en fer, en pigments chlorophylle ( favorise la fabrication de globules rouges et purifie le sang ) , en acide aminés elle contient aussi 30 fois plus de bêtacarotène que la carotte.

Cortes rapporta dans ses mémoires, comment les Aztèques récoltaient une sorte de boue verte à la surface du lac autour de Tenochtitlan, qu'ils faisaient ensuite sécher au soleil pour la consommer sous forme de galettes. Pratique similaire chez les Kanembous au nord est du Tchad qui ne fut redécouverte par des biologistes belges que dans les années 1960.


En France, l 'Ifremer a prouvé ses effets sur le mauvais cholestérol, antitumoraux et sur les effets secondaires des traitements anticancéreux.

La biomasse de chlorelle contient aussi environ 60% de protéines.

La spiruline ou la chlorella ont des propriétés antivirales, antitumorales, antioxydantes, anti-inflammatoires, antiallergiques, antidiabétiques et antibactériennes.

Quant' à l’ AFA KLAMATH, une autre cyanobactérie, elle serait, d'après le naturopathe le Dr Jean pierre Willem, l'aliment le plus riche de la planète ; comblant toutes les carences et excellent dépolluant de l’organisme. Mieux que la spiruline ou la chlorelle : 115 micronutriments (acides aminés, nucléoprotéides, peptides, bêtacarotène, chlorophylle, polysaccharides, vitamines A, B, C, F, J, K, sels minéraux, oligoéléments).

Un peu plus d'un siècle après le décès d'Antoine Béchamp, les humains sont enfin en train de comprendre de nouveau leur rôle primordial potentiel dans la santé humaine et celle des écosystèmes. On devrait s'interroger pour quelles raisons cela n'a pas été le cas plus tôt, car la Chlorella a été découverte en 1890 et ses bienfaits ont été déjà expérimentés lors de la première guerre mondiale. Quant' à la spiruline, de nombreux peuples la connaissaient depuis des siècles. On espère aujourd'hui que l 'AFA Klamath pourra être cultivée bientôt à plus large échelle.

Bactéries, microalgues, phytoplanctons utilisent et transforment l'énergie de la lumière solaire et le dioxyde de carbone pour croitre et se multiplier. Ils produisent de l 'énergie, des matières organiques et de l'oxygène par photosynthèse. Comme les plantes mais avec une productivité un peu près 10 fois supérieure aux végétaux terrestres par m2 de culture au sol ( étude Ifremer).

Une vidéo a propos d' une ferme de culture en Isère, pour de la spiruline


Depuis le néolithique, les humains avaient constaté leur valeur nutritionnelle et consommaient ces substances. Comme certaines traditions ancestrales en Afrique, autour du lac Tchad par exemple, ou parmi les peuples amérindiens du Mexique ou les Incas nous l'ont montré.

Aujourd'hui les chercheurs s'intéressent aux vertus thérapeutiques de certaines de leurs molécules ou pigments comme la phycocyanine, un pigment photosynthétique ( de phyco algue et cyan /kyanos bleu-vert) , issue de la spiruline (15% de son poids) et de l'AFA, responsable de cette étonnante couleur bleue et puissamment antioxydante, stimulante du système immunitaire et des cellules souches, antioxydante selon plusieurs milliers d 'études scientifiques publiées. En France, l 'Ifremer a prouvé ses effets antitumoraux, sur le mauvais cholestérol ou les effets secondaires des traitements anticancéreux.


Je vous invite aussi à lire cet article ci-dessous.

Certes, il n'évoque pas l' Afa Klamath et la chlorelle, ce qui est dommage, car certains préconisent des cures de chlorelle alliée à la spiruline, ou l'utilisation d'Afa Klamath. Chacun-e peut expérimenter et voir ce qui lui convient le mieux.

L'Afa-K., pour l'instant ne provient que du lac Klamath, en Oregon, mais en grande quantité. La spiruline a l'avantage de pouvoir être produite dans de nombreux endroits, dont en France.

Par contre, il décrit bien les propriétés exceptionnelles de la phycocyanine, commune à la spiruline et à l'Afa Klamath, et la meilleure façon de la consommer: portée à l'intérieur de la spiruline, de bonne qualité, bio, (ou de l Afa Klamath), et non pure, ou en boisson.


https://www.spirulinefrance.fr/la-compositon-record-de-la-spiruline/phycocyanine


La chlorelle est un genre de microalgues vertes unicellulaires d 'eau douce, puissamment détoxifiante et antioxydante en raison de sa concentration en vitamines A,C, E, en chlorophylle (quatre fois plus que la spiruline bio) et contient 18 acides aminés différents et de nombreux sels minéraux et oligoéléments : fer, soufre, calcium, zinc, potassium, magnésium, manganèse…Tout comme la spiruline, elle contient également des acides gras polyinsaturés, dont des omega 3, bénéfiques entre autre, pour les troubles cardiovasculaires.

Elle fut découverte par un biologiste en 1890 et rapidement réputée pour ses qualités nutritionnelles lors de la première guerre mondiale.

Etonnamment, elle a été un peu oubliée en occident jusqu'aux années récentes, mais elle est largement consommée au japon en tant que complément alimentaire.


Les cures de chlorelle, souvent associée à la spiruline, ou à d 'autres plantes comme les baies d 'argousier et le camu camu, sont réputées renforcer le système immunitaire, réduire le taux de toxines, déchets et radicaux libres accumulés dans l'organisme des patients, agir sur l'hypertension artérielle, le taux de cholestérol et les troubles de fibromyalgie ( Etude : Nutritional supplementation with Chlorella pyrenoidosa for patients with fibromyalgia syndrome: a pilot study. Merchant, R. E., Carmack, C. A., and Wise, C. M. Phytother.Res. 2000…).

Des études semblent aussi prouver que chlorelle et spiruline seraient efficaces pour bloquer la prolifération des cellules cancéreuses.


Les algues ont tendance à s’imprégner des substances présentes dans leur environnement direct. Privilégiez les algues provenant de sites naturels, éloignés de toute forme de pollution. Comme la spiruline, la chlorelle se développe dans un grand nombre de régions à travers le monde, au sein de lacs et de cours d’eau.


La chlorelle est une algue d’eau douce que l’on peut consommer en poudre ou en comprimés, tout comme la spiruline. En ce qui concerne les dosages, il n’existe pas de posologie officielle. En revanche, les fabricants indiquent souvent qu’il ne faut pas consommer plus de cinq grammes de chlorelle par jour.

De plus, comme la spiruline, la chlorella se prend en cures régulières. Il est conseillé de commencer une cure par de petites doses journalières, et d’augmenter ces dernières au fil des semaines.


Spiruline et chlorella

L’une est une cyanobactérie et l’autre, une algue d’eau douce. Ces deux aliments sont mondialement réputés pour leur composition respective. Souvent confondues ou comparées, elles sont aussi très souvent associées. Et pour cause, les effets de ces aliments se complètent et se multiplient lorsqu’on les consomme ensemble. On associe généralement la spiruline à la chlorella pour détoxifier l’organisme, mais aussi pour lutter contre l’anémie. En effet, ces deux aliments sont très riches en fer. On peut aussi souligner l’efficacité de la spiruline et de la chlorelle dans l’oxygénation de l’organisme. Ainsi que pour éviter les carences en cas de malnutrition.


Une autre algue sauvage émerge parmi l’ensemble des végétaux : l’Aphanizomenon. Elle contient tous les nutriments qui sont indispensables à la vie et peut combler les carences dont la plupart des humains souffrent. La liste des problèmes qu’elle peut enrayer est infinie.

L’algue d’eau douce Aphanizomenon Flos-Aquae (AFA) croît dans un biotope exceptionnel dans le lac Klamath, près du Mont shasta, en Oregon, aux Etats-Unis.

Un lac de 250km2, qui était un lieu sacré pour les Amérindiens, avec un phénomène naturel d'eutrophisation qui s 'est renforcé après le drainage des marécages aux alentours. Aujourd'hui hyper-eutrophisé, il présente ces cyanobactéries quasi uniques au monde avec une densité extrême, jusqu'à 30 000 filaments par ml à la fin de l 'été. Les nutriments contenus en quantités considérables au fond de ce lac sont issus d 'une éruption volcanique.

Loin de toute pollution industrielle, à une altitude de 1300 m, le lac Klamath dont la surface est couverte d’algues bleues vertes, réunit toutes les conditions pour opérer la photosynthèse. Comptant parmi les plus anciens organismes de la Terre, les algues bleues ont la propriété de photosynthèse comme tous les végétaux. Ce sont en fait les organismes les plus concentrés en pigments de chlorophylle.

La chlorophylle, capte au niveau du système foliaire les photons provenant du rayonnement solaire. Elle utilise cette énergie pour scinder la molécule d’eau inhérente à la vie et au développement du végétal, en hydrogène et oxygène. L’oxygène est rejeté pour la plus grande part (régénération de l’air ambiant), ou utilisé dans d’autres réactions métaboliques, tandis que l’hydrogène se combine au gaz carbonique absorbé par la plante (épuration de l’air ambiant) afin de former divers sucres. A partir de ces sucres, le métabolisme cellulaire élabore, par divers processus d’oxydoréduction, des structures moléculaires complexes et variables selon les caractéristiques génétiques propres à l’espèce végétale.

Par ailleurs, la membrane cellulaire de l’Aphanizomenon est composée d’une substance presque identique au glycogène qui la rend assimilable à 95%, contrairement à la Chlorella dont la membrane cellulaire est composée de cellulose qui la rend difficile à assimiler.

Considérant la multitude des nutriments présents, de nombreux troubles peuvent être colmatés. Les acides gras polyinsaturés permettent la fluidité et la perméabilité des membranes, et les échanges intercellulaires. Par ailleurs, la présence des antioxydants neutralisent les effets délétères des électrons libres qui attaquent les membranes cellulaires.

La présence de la plupart des nutriments essentiels à la vie contribue à restaurer et à équilibrer l’ensemble des métabolismes. L'AFA agit comme un bio régulateur métabolique, redonne de l’énergie physique et mentale, enraye le vieillissement cérébral et la dépression par la présence de phényléthylamine ( PEA). La PEA est une amphétamine naturelle capable de moduler l'attention, l'humeur, l'anxiété, c'est un neuro-modulateur, utile notamment pour les malades de Parkinson et d 'Alzheimer qui ont un mauvais métabolisme des neurotransmetteurs.

La libération des cellules souches à partir de la moelle osseuse et la migration de ces cellules souches réparatrices des tissus est le mécanisme naturel que le corps humain a développé sur des milliers d’années pour se guérir et se régénérer. La fontaine mythique de la jeunesse peut avoir été découverte.

L’étude d’AFA nous a conduit à la découverte d’un phénomène naturel fabuleux : l’utilisation de cellules souches pour la guérison, la régénération et la réparation.

Le système immunitaire dans son ensemble est très complexe. Il est composé de nombreux organes et tissus (moelle osseuse, rate, ganglions lymphatiques, thymus…) qui produisent différents types de cellules dotées de fonctions immunitaires spécifiques ainsi que des molécules chimiques modulant ces différentes fonctions immunitaires. L’un de ces types de cellules est appelé cellules tueuses naturelles ou lymphocytes NK. Il s’agit d’un sous ensemble des lymphocytes T. Elles sont également appelées lymphocytes T cytotoxiques, ce qui signifie « toxiques pour d’autres cellules ». L’une de leurs principales fonctions au sein du corps est de rechercher et de tuer les cellules cancéreuses ou infectées par des virus.

Certains composants de l’algue recèlent un potentiel immunostimulant. La couche la plus externe des cellules d’AFA contient des substances hétéropolysaccharides qui activent la lignée blanche (leucocytes, macrophages) chargée des défenses naturelles.

L’AFA a la propriété unique de stimuler la migration des monocytes et des lymphocytes B et T, les cellules tueuses du système immunitaire programmées pour la détection et la destruction des cellules dégénérées et des cellules infectées par des virus au sein des tissus de l’organisme. Grâce à sa teneur en phycocyanine, cette algue empêche l’oxydation de l’ADN.


L’AFA stimule la mobilisation et la migration des cellules du système immunitaire, stimule l’activité des macrophages, empêche l’inflammation et la douleur en inhibant l’activité cyclo-oxygénase (COX-2), stimule le fonctionnement du cerveau et améliore le propre mécanisme de régénération du corps, est une source exceptionnelle d’acides gras oméga-3.

Tous nos organismes sont pollués par l’alimentation qui contient des pesticides, des engrais chimiques, des insecticides, des xénobiotiques, par les métaux lourds (alliages dentaires) et par les rayonnements électromagnétiques.

Par ailleurs, les sols de plus en plus contaminés par les engrais chimiques et déminéralisés produisent des fruits et des légumes pollués, dont la valeur nutritive s’effondre. Les métaux lourds se déposent dans les tissus, les empoisonnent, ralentissent et perturbent leurs fonctions, notamment dans le foie et dans les reins. L’AFA démontre une capacité de fixation de ces substances et leur élimination de l’organisme.

L’AFA protège l’organisme contre les différentes substances toxiques. L’action de cette algue résulte de la combinaison de ses macromolécules principalement des polysaccharides et des pigments, aux agents contaminants. La haute teneur en chlorophylle et superoxyde dismutase potentialisent l’effet antioxydant.

Restaure l’équilibre mental

L’AFA contient la plupart des éléments nutritifs appropriés pour alimenter et restaurer le système nerveux et le cerveau. Ce sont les minéraux, les vitamines en particulier le groupe B, les acides aminés précurseurs des neurotransmetteurs. Ils agissent d’une façon efficace et précise dès lors que leur proportion correspond aux besoins de notre organisme. Parmi les acides aminés se détache la phényléthylamine (PEA) produite par le cerveau, connue pour ses facultés d’amélioration de l’humeur. C’est aussi un puissant agent antidépresseur.

La synthèse de ce neuromodulateur se fait à partir de deux autres acides aminés, la phénylalanine et la tyrosine. On peut affirmer qu’une liste impressionnante de troubles nerveux profiteront de l’ensemble de ces ingrédients nutritionnels : la dépression, le déficit d’attention, l’hyperactivité des enfants, les troubles du comportement et de l’humeur, la fatigue nerveuse, le burn out (épuisement nerveux) les troubles de la mémoire, les séquelles des traumatismes crâniens.

Considérant l’action inédite de cette minuscule algue qui assure la fluidité des membranes cellulaires, lutte contre les radicaux libres, protège de toutes les formes de pollution, combat l’inflammation, stimule la régénération cellulaire, diminue les effets du stress, on ne sera pas étonné de constater des résultats parfois exceptionnels dans la fibromyalgie, la sclérose en plaques, la maladie de Charcot et les maladies neurodégénératives contre lesquelles la médecine officielle n’a pas de réponse : Alzheimer, Parkinson, amyotrophie spinale, dégénérescence maculaire de la rétine etc.

La dépression

Une diminution des concentrations cérébrales de PEA endogène peut donc jouer un rôle majeur dans l’étiologie de certaines formes de dépressions.

En fait, il a été observé que le médicament antidépresseur d’un traitement agit en augmentant le niveau de la PEA dans le cerveau. Une étude démontre que lorsqu’elle est prise par voie orale (10 mg/j) la PEA est efficace pour diminuer les symptômes de la dépression dans 60 pour cent des cas des patients testés.

La consommation quotidienne d’un gramme par jour d’extrait d’AFA pourrait constituer une approche thérapeutique efficace dans le traitement de la dépression ou autres troubles psycho-affectifs.

Propriétés anti-inflammatoires de la phycocyanine

Cette algue contient de la phycocyanine, le pigment bleu de l’AFA qui a démontré des effets pour empêcher le développement de l’enzyme cyclo-oxygénase (COX-2), responsable de l’apparition dans le corps de la douleur et de l’inflammation, en bloquant les neuromédiateurs anti-inflammatoires. La phycocyanine est également un puissant antioxydant et immunostimulant naturel. Elle est capable de stimuler la production de cellules souches au sein de la moelle osseuse et par conséquent la synthèse des globules rouges et blancs et des plaquettes. C’est un complément alimentaire de choix en période de convalescence.

Les maladies auto-immunes

Les personnes souffrant de maladies auto-immunes ou touchant le système immunitaire (lupus, SFC, thyroïdite d’Hashimoto, polyarthrite rhumatoïde, sclérose en plaques) ont pu trouver avec l’algue bleu- vert AFA une aide de vie précieuse.

En France, on estime que 5 millions de patients relèvent de la maladie auto-immune répartie dans 50 maladies.

Anti-cancer

Les lymphocytes NK sont capables de reconnaître les cellules cancéreuses ou celles qui ont été infectées par un virus. La stratégie de ces lymphocytes NK est radicale : ils s’approchent directement des cellules cancéreuses ou vitro-infectées et relâchent de puissants radicaux libres dans leur environnement immédiat. Ces radicaux libres créent un trou dans la cellule, qui en meurt. La cellule morte est ensuite phagocytée (« mangée ») par un autre type de cellules immunitaires, les macrophages, les éboueurs de l’organisme. Pour quitter le flux sanguin, atteindre les tissus cibles et reconnaître les cellules anormales, les lymphocytes NK disposent de molécules dites « d’adhésion » qui leur permettent de passer du sang aux tissus à travers la paroi des capillaires, ainsi que des molécules en surface (des récepteurs) qui les aident à détecter les cellules infectées.

Le fait d’ingérer Aphanizomenon flos-aquae déclenche la migration de 40% des lymphocytes NK circulant dans le sang vers les tissus où leur fonction principale est la surveillance immunitaire et l’élimination des cellules cancéreuses et autres virus.

D’autres recherches pourraient démontrer que l’ingestion de petites quantités d’AFA tous les jours pourraient aider à la prévention du cancer et des infections virales.

Action anti-oxydante

Comme antioxydant, l’AFA peut également avoir un impact sur le statut immunitaire.

Les corps humains d’une part produisent des radicaux libres et d’autre part sont exposés aux producteurs environnementaux de radicaux libres.

Les dégâts (stress oxydatif) causés par les radicaux libres incluent des mutations cellulaires, contribuant à presque tous les processus pathologiques et à endommager la fonction immunitaire.

Les radicaux libres détruisent les cytokines qui sont d’importantes voies de communication pour le système immunitaire. Des cellules immunitaires endommagées et la destruction de leurs voies de communication rendent le corps plus sujet au risque de maladies.

Le glutathion, notre principal et plus puissant antioxydant, nous protège contre le stress oxydatif et séquestre les radicaux libres qui peuvent endommager l’ADN et l’ARN cellulaires. L’AFA protège contre les dégâts oxydatifs et retarde l’épuisement du glutathion intracellulaire, protégeant et soutenant ainsi les cellules et la fonction du système immunitaire.

Restaure l’ensemble des métabolismes

L’AFA s’avère efficace dans de nombreux dysfonctionnements, parfois d’une façon inattendue ! À quel composé attribuer ces changements ? Il est difficile de mettre en avant telle molécule. Ce sont ces nombreuses substances, de haute qualité vibratoire qui interfèrent au niveau de tous les organes, glandes et tissus. Toutefois on peut individualiser certains éléments nutritifs pour expliquer l’amélioration de terrains particuliers.

Pour juguler l’inflammation, outre les Omega 3, on peut mettre en exergue la phycocyanine, le pigment bleu propre à ce type d’algues. La phycocyanine a pour effet d’inhiber la cyclooxygénase 2 (Cox-2), une enzyme fortement impliquée dans le processus inflammatoire. Elle neutralise aussi l’activité de la lipoxygénase en bloquant la formation de deux composés inflammatoires importants, la leucotriène B4 (LTB4), impliquée dans la genèse de l’asthme et la prostaglandine E2 (PGE2).

L’AFA a aussi la propriété de stimuler certaines glandes essentielles : le foie, les surrénales, le pancréas grâce aux cellules souches et autres micro-nutriments.

Les diabètes de type 1 et 2 sont nettement améliorés. Outre son rôle dans l’équilibre glycémique, le pancréas contribue à la digestion des protéines. C’est ainsi que dans plusieurs types d’allergies, des molécules de protéines imparfaitement dégradées pénètrent dans le sang, à travers une paroi intestinale poreuse et perméable qui déstabilise le système immunitaire. Les surrénales sont les glandes endocrines les plus sollicitées lors des stress de la vie moderne : stress nutritionnels (carences et intoxications), stress émotionnels, physiques et environnementaux. Elles sont la clef de voûte du système immunitaire, elles gèrent le métabolisme des sucres, des acides gras et des protéines et assurent l’équilibre acido-basique. Un bouleversement de cet équilibre peut entraîner la prolifération de germes et de virus.

Comment mettre tel nutriment en avant pour expliquer cette longue liste d’effets surprenants qui confinent pour certains au miracle ? Une chose est certaine : c’est un aliment très riche en substances qui agissent comme catalyseurs dans toutes les activités du corps humain.

En résumé

L’aphanizomenon a des effets positifs sur :

  • Les problèmes gastro-intestinaux, colites, gastrite, ballonnement, aigreurs d’estomac, parasitose.

  • Les problèmes cardio-vasculaires, l’hypercholestérolémie, hypertension, hypotension, artérite, infarctus.

  • Les rhumatismes, fibromyalgie, arthrites, crampes, torticolis, lumbago.

  • La dépression, les acouphènes, traumatismes crânien, déficit d’attention, enfants hyperactifs, troubles de la mémoire, fatigue chronique, autisme, épilepsie, spasmophilie, anorexie, boulimie, attaque de panique, phobies.

  • Le diabète, hypoglycémie, goutte.

  • Les problèmes cutanés, allergies, impétigo, mycose, cellulite, eczéma, adiposité, kystes, psoriasis, zona, vitiligo, urticaire, herpès.

  • Le rhume, la grippe, le coronavirus, les hépatites, infections virales.

  • Les problèmes gynéco : ménopause, fibrome, endométriose, dysménorrhée, ovaires polykystiques.

  • Les empoisonnements aux métaux lourds, pollutions électromagnétiques.

  • Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques.

  • Les dysfonctionnements endocriniens (thyroïde, pancréas, obésité).

  • Le carrefour ORL : dégénérescence maculaire de la rétine, cataracte, glaucome, acouphène, Ménière.

  • Le vieillissement, dégénérescence cellulaire., myasthénie.

  • Le cancer, sida, récupération de l’organisme et accélération de la guérison en cas de traitement médicamenteux (trithérapie, chimiothérapie, antibiothérapie, anxiolytiques).

  • Le covid long, maladie de Lyme (borréliose), sarcoïdose.

  • Les problèmes pulmonaires : emphysème pulmonaire, bronchite, apnées du sommeil, dilatation des bronches, BPCO.

Merci au Docteur Jean Pierre Willem pour ses informations à propos de L AFALG, issues de son blog association-biologique-internationale.com qui est une mine d 'or.

merci pour votre attention


https://www.olivierclamaron.com/post/afalg-klamath-chlorelle-et-spiruline-3-micro-organismes-3-super-aliments


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