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  • Photo du rédacteurOlivier Clamaron

Les avancées de la recherche africaine: artemisia, moringa, ravintsara... COVID Organics CVO.

Dernière mise à jour : 17 nov. 2023



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Olivier Clamaron F-75011 PARIS -FRANCE

TEL (+33)613992283

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Publication n° 107



Bonjour

Je suis admiratif du travail effectué par les chercheurs et chercheuses en dehors du monde occidental, notamment en Afrique et en Inde et de leurs initiatives depuis 2019 et 2020 pour faire profiter leur population de leurs puissantes pharmacopées naturelles et de leurs traditions ancestrales de bien-être et de médecine intégrative.

Ils sont en train de nous montrer une nouvelle Voie dans notre intérêt à toutes et tous.

C'est le cas de la politique de l' AYUSH en Inde et de nombreux pays africains ont pris une direction similaire aux autorités indiennes.

Par exemple avec les programmes antipaludéens depuis de nombreuses années ou avec le programme COVID organics et la politique mise en place par le Président Rajoelina à Madagascar, qui est aujourd'hui étendu à des pays comme le Benin, le Sénégal, le Kenya, le Burkina Faso, le Ghana, la Guinée Equatoriale, la Tanzanie, le Congo, le Botswana, l’Afrique du Sud, jusqu’au Cameroun ou encore l’Éthiopie avec des résultats très positifs et prometteurs.


En 2019, France24 avait fait un reportage remarquable sur l'utilisation de l'artemisia afra contre e paludisme : " MALARIA BUSINESS".


Le professeur Didier Raoult a souvent mis en avant les résultats et expériences des chercheurs africains, notamment à Dakar, au Maroc et en Algérie.


Je partage ici avec joie et une gratitude infinie pour les informations précieuses qui sont partagées par le naturopathe Jean Pierre Willem sur son site.

Qu'il soit remercié car c'est difficile de trouver des informations sur le programme COVID Organics en Occident, ainsi que pour ses actions de longue date pour les populations locales en Afrique et en Inde.

Il est présent à Madagascar avec son association des "médecins aux pieds nus" et a travaillé plusieurs années au Gabon, à Lambaréné au début de sa carrière, autour du Professeur Schweizer, ainsi qu'au Rwanda.




L'OMS a du accepter de coordonner des programmes d'étude et de recherche sur l'efficacité de certaines plantes de la pharmacopée traditionnelle, notamment à but antiviral, antiinflammatoire et anti-infectieux.

comme :

-l'artemisia afra

Comme l'indique Jean-Pierre Willem, dans l'article mis en référence ci-dessous: "les experts malgaches ont persisté dans leur recherche et aujourd’hui leur remède CVO+ curatif issu de l’Artemisia annua (version améliorée du Covid Organics) fait l’objet d’un essai clinique. Des extraits de cette plante aux propriétés antivirales sont dosés pour chaque capsule à 150 mg d’artémisinine, 3,3 mg d’extrait de flavonoïde, 4 mg d’extrait terpénique. Il y a aussi 7,1 mg d’huile essentielle de Ravintsara.


Les essais sont en phase 3, randomisé en double aveugle, comme l’impose le protocole en Guinéé Equatoriale et à Madagascar. Dans ce dernier pays, après deux semaines de traitement sur 338 patients atteints de Covid, les résultats indiquent que le CVO+ curatif est «efficace à 87,1% pour le traitement du Covid-19 de forme légère à modérée».


- le moringa olifeira appelé nebeday en Afrique de l'ouest

"L’IMB est un stimulant immunitaire contenant entre autres du moringa et de l’ail qui est testé au Kenya : Il a été administrés à cent patients contaminés et ce traitement en synergie aurait «amélioré très nettement les symptômes», selon le Pr Francis Ndemo. Cette expérimentation va s’étendre à 1800 patients kenyans.

" Les fruits et les feuilles utilisés en alimentation, sont riches en vitamine C (220 mg pour 100 g). Ils contiennent aussi de nombreux acides aminés (des protéines) surtout dans les feuilles. Toutes les parties de la plante sont utilisées.

Enfin trois substances antibiotiques ont été découvertes dans les racines : pterygospermine, athomine, spirochine dont les spectres antibactériens sont très larges. La spirochine agit aussi comme cardiotonique.

Les graines consommées après séchage ont le goût des cacahuètes. Mais surtout elles peuvent donner une huile intéressante, proche de l’huile d’olive, qui contient 70 % environ d’acide oléique. Elle est très recherchée.

Comme cet arbre est de croissance rapide : environ 3 ans après sa plantation, il commence à donner des fruits.

Il a également un potentiel de purification de l'eau :

"L’équipe du Pr Geoff Folkard, de l’université de Leicester (Grande- Bretagne), a mis au point un système d’épuration de l’eau qui utilise les principes actifs de la graine du Moringa oleifera. Broyées, les graines de moringa désinfectent l’eau boueuse d’une rivière ou d’un marigot, qui devient potable en une heure. Un espoir pour les pays du tiers monde, qui pourraient cultiver cet arbre. Le moringa a le triple avantage de pousser en terrain peu fertile, sans beaucoup de soins, et d’être productif rapidement. Outre ses graines, il offre des feuilles et des fleurs riches en protéines, en vitamines A et C, en calcium et en fer."


-le Dichrostachys glomerata ou mimosa clochette :

" le Burkina Faso a conclu ses essais de phase 2 sur l’apivirine.

Ce phytomédicament béninois à base de Dichrostachys glomerata ou mimosa clochette «confirme une efficacité virologique, avec une évolution positive au bout de trois semaines de traitement sur les patients souffrant d’une forme modérée à légère du Covid-19», rapporte le Pr Sylvin Ouedraogo, directeur de recherche en pharmacologie. "


-le nibima Cryptolepis sanguinolenta : " Au Ghana, c’est la plante nibima (Cryptolepis sanguinolenta), utilisée dans la lutte contre le paludisme, qui est testée dans un essai de phase 2."


- et les tisanes de feuilles de mélisse, manguier et mûrier au Mozambique

- le Azadirachta indica (Neem) :

"Cette plante est originaire des Indes. Un extrait alcoolique de feuilles et d’écorces de tronc a montré une activité antiinflammatoire et antipyrétique. De même, un extrait aqueux lyophilisé des feuilles, donné par voie orale à des rats confirme cette action anti-inflammatoire.

Faire bouillir 30 grammes de feuilles dans un litre d’eau pendant une demi-heure. Boire un demi-litre par jour."

- le Crossopterix febrifuga

" Les indications traditionnelles, comme le nom de l’espèce l’indique, sont la fièvre, la toux, les affections bronchiques grâce aux écorces du tronc et aux racines.

Un brevet déposé en Italie (FORESTA) décrit deux produits, les crossoptines A et B, saponosides dont la génine est l’acide oléanolique. Ces deux substances possèdent des propriétés anti-inflammatoires, analgésiques et mucolytiques, ce qui correspond aux indications de la grippe, du coronavirus et des bronchites."

- le Guiera senegalensis, appelé Nger en Wolof, geloki en peuhl, Kudembe en Bambara…

" Le Nger est considéré comme la première plante du Sénégal si l’on considère son emploi généralisé et ses nombreuses indications. Il est utilisé principalement comme calmant de la toux et comme fébrifuge. D’où sa prescription comme antitussif et dans les inflammations des bronches et du poumon. Ce sont les feuilles qui sont généralement prescrites sous forme de décocté.

Ces indications sont générales dans tous les pays où pousse cette plante, du Sénégal au Nord-Nigéria.

Un sirop antitussif a été préparé à partir des feuilles. L’étude clinique a été vérifiée chez des enfants de 6 mois à 6 ans et l’action antitussive s’est révélée excellente dans 98% des cas (POUSSET).

Faire bouillir une demi-heure 50 grammes de feuilles de Nger dans 500 ml d’eau. Filtrer et sucrer à volonté. Boire par cuillères à soupe pour les adultes, à café pour les enfants."


Des résultats sont attendus très bientôt dans l'intérêt des populations locales mais aussi au niveau international, et remercions les pour leur persévérance à protéger, faire respecter et développer leurs traditions.

Merci pour votre attention.


Les populations occidentales, de toute évidence, ont aussi tout à gagner du nouveau paradigme mondial en terme de santé, qui tôt ou tard, va émerger :

multipolaire, plus ouvert, tolérant et intégratif du meilleur de la technologie, mais aussi du meilleur des trésors naturels internationaux et des différentes et complémentaires traditions ancestrales de soin et de bien-être.

Proportionnellement cela représenterait au moins un potentiel de 150 000 emplois en France et dans nos territoires d'outre-mer, qui ont aussi des écosystèmes exceptionnels.




Ci-dessous vous trouverez les fichiers sur mon site qui recapitule les propriétés de plus de 300 espèces de plantes médicinales. Je continue de les compléter chaque mois.



Lettre A



Lettres B-D



Lettres E-L



Lettres M-Q



Lettres R-Z



A-B



C-F



G-Z






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