PELERINAGE DE COMPOSTELLE OU CHEMIN DE LA VIERGE NOIRE ?
- Olivier Clamaron
- il y a 2 jours
- 11 min de lecture
PARTAGE DU 12 JUILLET 2025
"Le pèlerinage de Compostelle est fondé sur une légende établie autour de la dépouille de l'apôtre Jacques dit le Majeur qui avait été exécuté vers l'an 44, à Jérusalem par le gouverneur Hérode.
L’histoire dit que son corps fut alors rapatrié en Espagne.
La légende raconte par contre, que son corps décapité se retrouva dans une embarcation sans gouvernail, qui dériva depuis le Moyen-Orient jusqu'au cap espagnol Finisterra, Sa dépouille est transportée en un lieu qui s'appellera plus tard campus stella ( camp de l'étoile ), expression que certains donnent pour l'origine du mot Compostella.
Le tombeau du Saint fut découvert à la fin du IX° siècle. Certains pensent que le christianisme se serait approprié ce lieu de culte et que le Chemin de Compostelle ne serait qu’une version christianisée d’un itinéraire de pèlerinage bien plus ancien.
Ce pèlerinage serait-il donc celte ?
Sous l’influence du Christianisme, les légendes Celtes se transformeront :
- le chaudron de Lug deviendra le Saint Graal,
- le cromlech deviendra la Table Ronde,
- la Vierge Noire deviendra Notre Dame,
- la marche initiatique deviendra pèlerinage.
Peut-être devrions-nous nommer ce pèlerinage « le chemin de la Vierge noire » !
C'est un chemin très ancien, emprunté à l’âge du bronze, reflétant la Voie Lactée sur Terre. Cette appellation de voie lactée viens du fait qu'elle forme dans le ciel une traînée blanchâtre ( comme le lait ) et en forme de chemin ( voie ).
Le nom français est une traduction de son nom latin via lactea, lui-même dérivé du Grec γαλακτικός κύκλος (galaktikos kýklos), qui désigne plutôt un "cercle lacté" qu'une voie. On remarque que les mot "galaxie" ou "galactique" proviennent aussi de la même racine grecque signifiant lait.
Henri Vincenot, dans son livre “Les étoiles de Compostelle“ ( 1982 ) à écrit : "Et d'abord, je dois te dire que ce chemin de saint Jacques est aujourd'hui une tromperie!"
Il y affirme que le chemin de Saint-Jacques est initiatique et que son parcours confère la Connaissance.
Il distille l’idée d’une récupération par l’église d’un chemin païen et n’assimile pas saint Jacques à Maître Jacques :
« Jacques : nom donné aux Compagnons Constructeurs Enfants de Maître Jacques […] Il n’a aucune parenté avec un saint Jacques, majeur ou mineur. ».
« Qu’il y ait eu en Galice un pèlerinage dès l’époque mégalithique (…), nous en sommes persuadés », dit de Gouvenain ( Atlantis n° 279 ).

Selon la légende du roi Arthur, il y avait le pentagramme à la cour de Camelot.
Les 5 branches des étoiles représentaient la noblesse, la chasteté, la courtoisie, le courage et l’honneur. C’est pour cette raison que le symbole a été repris par l’ordre des Templiers.
Des anciennes légendes l’identifie comme le lieu où les âmes des défunts se réunissaient pour entreprendre le chemin qui les auraient amenées à traverser la mer, en suivant le parcours du soleil au coucher.
Dans l’ancien monde des Celtes, des Grecs et des Romains, la fin du monde était un endroit spécial à visiter. Raison de plus pour y aller.
Déjà les Celtes cheminaient sur cette route. Pour eux il s’agissait d’une route qui les menait vers "la fin" de la terre (Finistère), la route de l’ouest, la route allant vers le coucher du soleil. La tradition mythologique grecque donne des éléments parallèles avec la barque de Charon et les pommes d’or du jardin des Hespérides, qui se trouvent également au bout du monde.
L'Autre Monde celtique porte les noms de Mag Meld (Plaine du Plaisir), Mag Mor (Grande Plaine), Tir na mBéo (Terre des Vivants), Tir na mBân (Terre des Femmes), Tir na nOg (Terre des Jeunes), et Tir Tairngire (Terre des Promesses).

Si l’on se réfère à la tradition mythologique celte et plus largement, indo-européenne, l’île d’Avalon fait figure d’une sorte de pays des morts, ou plutôt à un autre monde.
L'île d'Avalon est l'île mythique par excellence de la tradition celtique. L'île d’Avalon est, dans la littérature arthurienne, le lieu où est emmené le roi Arthur après sa dernière bataille à Camlann. C'est aussi, selon certaines sources, l'endroit où fut forgée l'épée d'Arthur, Excalibur. C'est enfin l'île où vivait supposément la fée Morgane.
La référence aux pommes dans le nom d’Avalon rappelle sa dimension d’immortalité, qui n’est une vie éternelle que par défaut. La terre irlandaise mythique des fées et des elfes s'appelait Tír na nÓg ( en gaélique « la Terre de l'éternelle jeunesse » ), et est l'un des plus connus des « autres mondes » de la mythologie celtique, connu notamment par le mythe de Oisín et Niamh aux Cheveux d'Or.
Tír na nÓg est une île située très loin à l'Ouest.

Elle est accessible après un long et périlleux voyage.
Dans cet Autre Monde, la maladie et la mort n'existent pas, la jeunesse et la beauté sont éternelles car le temps y est aboli. Bien que ce lieu ait été parfois comparé avec l'après-vie nordique pour les guerriers, le Valhalla, Til'na nÓg n'était pas un endroit où les âmes allaient après la mort.
D’après la tradition, les romains auraient trouvé, au cap espagnol Finisterra, un autel consacré au soleil (Ara Solis), érigé par les anciens peuples habitant les lieux avant eux. A l'époque de l'Empereur Constantin, Compostelle était l'un des hauts lieux de la religion monothéiste de Sol Invinctus (Soleil invaincu) dont l'Empereur était le Grand Prêtre.
Le sentier de Janus, un pèlerinage d’allégeance à Rome sous l’Empereur Auguste qui transforma cet antique chemin en pèlerinage vers l´ARA SOLIS au Finis Terrea là où le dieu solaire, soit Lug soit Janus, se repose la nuit.
Le pèlerinage commençait le 25 mars et le pèlerin devait arriver à Lucus Augusti le 1er Août ( Lugnasad, la fête de Lug ou plutôt la fête en hommage à la mère de Lug se commémore à la pleine lune la plus proche du 1° août ! ).
Au IV° siècle avant J.-C. Aristote mentionne dans son De Mirabilibus Auscultationibus une voie « Héracléenne » qui conduisait d’Italie chez les Celtes, les Celto-ligures et les Ibères : Héraclès aurait ouvert cette voie en ramenant les bœufs de Geyron d’extrême occident (le dixième des travaux d’Hercule).
L’Étoile guide le cheminant vers son travail et son chemin personnel.
Les étoiles symbolisent l’ordre cosmique en raison de leur course autour de l’étoile polaire («axe du monde»).
Depuis la plus haute antiquité, les étoiles servent de repères aux hommes. L'étoile symbolise le repère immuable.
Dans le monde entier, les étoiles ont toujours été représentées par des pentagones étoilés. Cette représentation est très ancienne : on en trouve des traces en Mésopotamie comme dans les hiéroglyphes égyptiens.
On retrouve cette étoile dans les principaux cultes des « déesses mères ».

Il est le symbole païen du Féminin sacré, du Culte de la Femme.
Les païens vouant un culte à la Déesse et à la Nature. L’étoile, d’une manière générale, représente le but à atteindre, le signal qui montre la fin du voyage.
Campus stellae ( champ d’étoiles ) est une référence à la Voie lactée. Les Celtes adoraient le dieu soleil Lug et ont appelé la Voie lactée la chaîne de Lug. Les Celtes les pèlerins marchaient sous la lumière de la Voie lactée jusqu’au bout du monde, Fisterra-Finisterre. Cheminer vers l'étoile, c'est chercher la porte qui est à l’intérieur, aller des ténèbres à la Lumière, de la mort matérielle à la Lumière spirituelle.
Tous les initiés, de tous les âges, de toutes les religions, de toutes les écoles de pensée spiritualiste, nous ont donné uniformément l’explication suivante : « il faut s'acheminer vers le fond de son être et, en se retrouvant pleinement soi-même, renaître à une nouvelle vie de recherche et d’application du Savoir acquit : ce qui éveillera progressivement l’homme primitif en l’homme de la connaissance ».
L’étoile à cinq branches représente l’homme, mais pas n’importe quel homme. L’homme harmonieux, l’homme lumineux ; l’homme accompli est celui qui s’est structuré sur la proportion dorée, en sa relation juste avec le cosmos. Par ses cinq sens, il en perçoit l’harmonie et, par son esprit, il contribue à l’harmonisation de l’Univers.
Vivre selon l'étoile, c'est construire son Temple intérieur.
Ce Temple, c'est tout le système de nos connaissances, nos idées, nos règles de conduite dont nous devons nous efforcer de former un tout harmonieux pour nous rapprocher de la perfection.
Les alchimistes disent : « l’œuvre cachée et mystérieuse est en toi ; partout où tu iras, elle sera avec toi, à condition de ne pas la rechercher au dehors ».
A Babylone, ce symbole était synonyme de protection, mais aussi symbole de puissance et de suprématie. On le trouvait sur les bijoux et les trônes des souverains.
Chez les anciens égyptiens, par exemple, le pentagramme c’était l’étoile d’Isis. Il symbolisait la mère Terre.

On trouve également hiéroglyphe en forme de pentagramme. Sa traduction c’est initier, apprendre.
L’étoile flamboyante chez les anciens égyptiens est aussi l’image du soleil, auteur des saisons et emblème du mouvement, tel HORUS symbole solaire, source intarissable de vie, étincelle de feu sacré, semence universelle de tous les êtres.
Chez les celtes, une pomme découpée par le milieu forme le dessin d'une étoile à 5 branches, signe de l'homme et de la connaissance, la pommeraie du "paradis" celte : Avalon.
La Coquille
La coquille saint Jacques que les jacquets ramenaient des cotes de la Galice, comme preuve de leur périple, n'est qu'un emblème que les chrétiens fixèrent sur un symbole bien plus ancien puisque de toute éternité, comme tout symbole d'ailleurs.
Dans l'antiquité, les Anciens pensaient que les coquilles avaient des vertus protectrices.
C'est pourquoi ils l'a portaient comme amulette afin de se préserver des maladies et des mauvais sorts.
Sa tradition remonte très loin, puisqu'on la retrouve, entre autres, sur des bas-reliefs Égyptiens comme symbole solaire.
On place des coquilles au côté des dépouilles mortelles en guise d’ornement ou d’offrande mortuaire.
On en a ainsi retrouvé à Paris dans les tombes d'un cimetière mérovingien, bien avant la découverte du tombeau de saint Jacques à Compostelle.
Utilisation énergétique : Positionner la coquille St Jacques, côté strié TOUJOURS vers le Nord car ainsi elle sera dans le même sens que le magnétisme terrestre, idéalement le côté creux vers le haut.
Elle va augmenter le taux vibratoire du lieu.
En géobiologie, on pose la coquille St Jacques, côté bombé vers le haut, sur un nœud géo-pathogène (réseau Curry ; réseau Hartmann) afin d’en atténuer fortement les effets nocifs. En litho-thérapie, elle est idéale pour purifier les pierres énergétiques ou le pendule.
Ses proportions se rapportant au Nombre d’or ( 1,618 ) : sa forme s’inscrit dans un pentagone.

L’étoile à 5 branches est un très ancien symbole ésotérique qui représente la conscience incarnée, l’esprit dans la matière.
Tout le monde connaît le célèbre dessin de Léonard de Vinci représentant l’homme, bras et jambes écartés.
Connu sous le nom d’Homme de Vitruve qui tente de réaliser l’union du Ciel (cercle) et de la Terre (carré) grâce au passage du rationnel au transcendant pour établir un équilibre entre ces deux principes opposés.

Trois éléments en haut (la tête et les bras) et deux éléments en bas (les jambes).
Nous avons là l’accord du cosmique et du terrestre, et l’Homme est bien le Temple de l’univers.
Le pentagramme intègre par son symbolisme la notion de processus, de travail et de chef-d’œuvre achevé. C’est tout à la fois l’Intention, le cheminement, le but à atteindre et les règles qui y mènent.

L’Étoile reflète bien ce processus complet, de l’Intention initiale (l’Esprit) à l’œuvre accomplie et parfaite.
La coquille Saint-Jacques est une onde de forme naturelle. Elle a été choisie, et pas seulement en fonction de sa forme, comme bénitier dans de nombreuses Églises. Son onde de forme particulièrement purificatrice charge positivement l’eau bénite qu’elle contient, de sorte qu’elle reste “pure“. Elle est le symbole de la naissance de la Déesse Vénus sur l’île de Chypre.
Le vrai nom de la coquille Saint-Jacques est la mérelle d'où le nom du jeu extrêmement populaire de la marelle qui symbolise le pèlerinage.
Le jeu de la marelle, qui se présente comme un reliquat de rites et d’activités religieuses, symbolise les difficultés à surmonter pour atteindre le ciel. Le joueur progresse à cloche-pied en poussant un palet qui représente l’âme est une merveilleuse métaphore de l'existence. Dès 2357 avant J.-C., des textes chinois en font mention.

Dessiné sur des sépultures en Égypte, en Grèce ou ailleurs dans le monde, ce jeu à tableaux offre toujours le même tracé rectangulaire ou en spirale.
Marelle droite imitant le plan d'une cathédrale, et marelle en colimaçon évoquant une spirale de vie, ces deux figures et leurs variantes constituent les deux tracés pour cette progression.

L’empreinte de l’oie
Le personnage de l’oie avait jadis une symbolique spéciale : initiée, initiatrice, protectrice, maternelle, elle incarnait le triomphe de la lumière sur les ténèbres de l’ignorance.
Il y a une hypothèse selon laquelle la création du Jeu de l’Oie fut grâce aux Chevaliers Templiers. Ils défendaient les pèlerins qui se dirigeaient vers des villes saintes comme Saint-Jacques de Compostelle, Rome ou Jérusalem.
L’empreinte de l’oie est celle d’une patte palmée.
A ce titre, elle s’apparente à la palme, symbole universel d’excellence.
La patte d’oie s’apparentera plus tard à la coquille St Jacques et le chemin du pèlerin ressemble au parcours du jeu de l’oie.
En tant qu’oiseau, l’Oie est prédisposée à servir de symbole aux relations entre le ciel et la terre.
Le jeu de l’oie de part son dessin en spirale symbolise le parcours initiatique, ou la route que doit suivre tout individu. En Égypte, les oies sauvages étaient considérées comme des messagères entre le ciel et la terre. L’avènement d’un nouveau roi était signalé par un lâcher de quatre oies sauvages aux quatre coins de l’horizon.
Lorsque les Pharaons furent identifiés au soleil, leur âme fut représentée sous la forme d’une oie, car l’oie est le « soleil sorti de l’œuf primordial » (Champollion).

Dans la tradition celtique continentale et insulaire, l’oie est un équivalent du cygne, dont la lexicographie ne la distingue pas toujours nettement. Considérée comme une messagère de l’Autre Monde.
Pourquoi 63 cases ?
C'est le nombre d'années que dura la marche de Ram qu'il entreprit avec son armée dans le but de briser le joug des tyrans de son époque, il y a environ 35000 ans.
En numérologie, 63 se réfère à une volonté de recherche d’évolution et d’amélioration.
La route est parfois difficile mais avec une volonté à toute épreuve il est possible d’atteindre ses objectifs.
Fulcanelli, dans les demeures Philosophales, nous parle du jeu de l’oie « comme labyrinthe populaire de l’Art sacré et recueil des principaux hiéroglyphes du Grand-Oeuvre. ».
La figure spiralée du jeu de l’oie partagée en 63 cases inscrite dans un labyrinthe à une seule entrée.
Elle représente la travail entier de l’œuvre avec ses deux difficultés majeures : - celle de la voie qu’il convient de suivre pour atteindre le centre où se livre le rude combat des deux natures symbolisées par l’aigle et le lion, de puissances égales, mais de complexion contraire ; - et l’autre, du chemin que l’artiste doit tenir pour s’en sortir.
( Le mystère des cathédrales )
Sur le Chemin de Saint-Jacques, nos pas semblent nous conduire inexorablement vers un autre monde, celui que nous ouvre l'alchimie.
D'étape en étape, nous allons questionner la Mort ("l'âme hors") et le Temps.
Nous devons préciser ces interrogations avant que la Pierre Philosophale nous apporte une réponse.
La route de Saint-Jacques de Compostelle est bien une route alchimique.
Hercule est une des personnifications de l'alchimiste et ses travaux sont souvent comparés à ceux qui conduisent à la Pierre Philosophale.
Il a cueilli les pommes d'or du fameux jardin des Hespérides, que certains situent sur une île à l'ouest de l'Espagne et fait le lien avec les légendes celtes et l'île d’Avalon, qui est aussi une ''île des pommes".
La pomme apporte la connaissance des choses secrètes et sacrées, permet de vaincre le Temps.
La relation entre ce pèlerinage et les oies :
Il y aurait sur le chemin de Janus 63 étapes, dont 13 consacrées, gardées par des oies
5-9-14-18-23- 27-32-36-41-45-50-54-59.
Trouvé en 1908 en Crète, exposé au musée archéologique d’Héraklion, ce disque d’argile cuite d’environ seize centimètres de diamètre est couvert, sur ses deux faces, de hiéroglyphes imprimés à l’aide de poinçons, 241 signes, dont 45 différents disposés en spirale.
Il daterait du milieu ou de la fin de l’âge du bronze minoen (II° millénaire)."

Merci au site du Collège Druidique Traditionnel pour ce partage passionnant.
***************************
Reconnectons-nous et réactivons partout les Forces sacrées de la Terre Gaia-Ki, du Vivant Universel. Reconnaissons notre Lumière et rayonnons là.
Merci.
Proclamons comme les druidesses et les druides :
« Y gwir erbyn y byd «
« La Vérité à l'encontre du monde "
Olivier Clamaron F-75011 PARIS
(+33 ) 613992283
Vous trouverez aussi plus de 300 liens gratuits, sur la page d’accueil de mon site, en français,
WELCOME page in english : with for you more than 200 links
Page d'accueil pro. avec 8 outils holistiques en énergétique chinoise, massages Tuina et "Tantra Blanc", coaching...
1° des 5 fichiers sur le Feng Shui-Loshu, géobiologie, astrogéométrie, symbolique sacrée...
X reste mon principal réseau de partage, pour sa liberté d'expression. Je partage là où on peut le faire dans les meilleures conditions.
***************************
Comments