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HISTOIRE - Eres humaines du 3° et du 6° SOLEIL 

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https://www.olivierclamaron.com/spiritualite

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Quelques lectures que je vous recommande :

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Don Miguel Ruiz

3au delà de la peur". Je n'ai plus de lien audio, pour le moment, mais un extrait ci-dessous :

" Sagesse et magie des 4 accords toltèques, la voie de la liberté personnelle"

https://youtu.be/fqqVD7XlaJU?si=Wwf4Ugg0TVgqTkOW

Le 5° accord toltéque par Don Miguel et Don Jose Ruiz

https://youtu.be/FJZpvDSLBEg?si=emzaFlQf5e2MXROp

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https://youtu.be/omajagaozk0

Superbe photo  issue d 'une vidéo géniale de la chaine NEW HISTORIA sur l'Egypte ancienne  reconstituée, sur youtube . Je vous invite à la découvrir

superb picture from a great video from the NEW HISTORIA channel on youtube. I invite you to discover it

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LE CULTE SECRET DE  SOPHIA

LE CULTE SECRET DE LA DÉESSE SOPHIA

En 2020, j'ai lu avec grand intérêt, " The Sophia code, a living transmission from the Sophia dragon tribe ".

Kaia Ra y transmets des enseignements et codes de maitresses ascensionnées afin de se réapproprier sa divinité souveraine, de vivre comme une incarnation activée de Sophia, présentée  comme la Mère divine une, le Christ féminin divin, créatrice de toute vie.  

Je suis content d'avoir pu complété ces informations par ailleurs depuis et compris que Sophia correspond à la Grande déesse, que l l'humanité a déjà vénéré 

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De même que l’enseignement spirituel architectural de l’Empire Romain d’Occident était christo-odinique, de même celui de l’Empire Romain d’Orient était christo-hellénique. En Occident, la signification secrète cachée derrière le voile chrétien était la métaphysique druido-odinique. En Orient, c’était la métaphysique gréco-osirienne qui avait voyagé jusqu’en Asie Centrale le long de la route de la soie, sur les traces de Dionysos et d’Alexandre le Grand.

Nous disposons de peu d’informations sur la construction de la basilique Sainte-Sophie, qui s’étend du IVe siècle au VIe siècle. Elle sera achevée sous le règne de l’empereur Justinien. Cette époque est marquée par un affrontement violent entre les derniers maîtres du Paganisme et les évêques chrétiens. Pourtant, ce sont ces maîtres persécutés qui lègueront à la postérité leur testament spirituel : la basilique Sainte-Sophie. C’est pourquoi nous devons d’abord expliquer qui était la déesse Sophia, représentée sous forme d’un serpent au sommet des dômes de St Sauveur-in-Chora, qui complètent l’enseignement donné par le dôme de la basilique Sainte-Sophie.

Les philosophes sophistes

Les anciens philosophes pratiquant la philosophie (phílos – sophía = aimé & chéri – déesse de la sagesse et de la science Sophia) étaient, selon leur doctrine originelle, les aimés de la déesse de la sagesse Sophia, pour laquelle ils bâtirent la basilique de Constantinople, réservant le sens secret du premier Christianisme dans son architecture. Le Sophisme était une école philosophique et religieuse.

La secte des Ophites

Sophia (óphis – as = serpent-déesse) était secrètement la déesse serpent féminine des Ophites (ophianoi), qui a donné en français l’office divin, sacralisation du serpent de l’arbre de vie ou arbre de la connaissance. Les Ophites (ophianoi = sophia ànoia = sagesse – folie) étaient les maîtres gnostiques de la « folle sagesse ». Il s’agit de la révélation divine inaccessible au commun des mortels qui la qualifie de folie. Cette école philosophique a été fortement combattue par les docteurs de la foi chrétienne qui l’associaient au Satanisme, selon leurs opinions développées dans les écrits d’Hippolyte de Rome, Irénée de Lyon, Origène d’Alexandrie et Épiphane de Salamine. Curieusement, ánoia est homophone d’anneau en français. Le déroulement des anneaux du serpent qui se dresse conduit donc à la « folle sagesse ». Cette école gnostique a rayonné en Égypte, en Syrie et plus loin encore, selon ce que les textes antiques ont conservé.

Les origines gauloises de Sophia

Sophia (pháos – pháô – phásis – Eos – Sif = lumière – luire briller – apparition d’un astre au-dessus de l’horizon – déesse Eos – déesse Sif) est aussi la déesse de la lumière, celle qui pointe à l’aube, au-dessus de l’horizon comme une étoile. Elle est la première lumière qui éclaire dans la nuit, avant que le jour ne remplisse le ciel. Elle est la déesse grecque de l’aurore Eos, semblable à l’Ostara protogermanique et protoslave. Enfin, elle est l’épouse prophétesse de Thor, l’ásyn Sif aux longs cheveux d’or aussi appelée Sibylle, du nom des prophétesses, suivantes de Cybèle et Apollon, originaires de Pessinonte en Asie Mineure, dans le territoire des Celtes Galates Tectosages. À Byzance, aux environs du Xe siècle, Eos était prononcé Ios, de sorte que les théonymes Eos et Sif se confondent en Sophie, Sophia.

La caractéristique iconographique essentielle de Sif est sa longue chevelure, qui recouvre tout son dos comme une onde lumineuse. C’est une variante de la tresse qui représente le serpent vertébral dont la nature lumineuse est précisée. Le serpent, qui se dresse vers le 3e œil, fait naître une lumière d’abord faible, semblable à une étoile dans la nuit. Ce point lumineux est comme la piqûre du serpent qui perce le voile obscur de l’ignorance. De même que le venin pénètre le corps progressivement, de même en est-il inversement du point lumineux, qui grossit et brille de plus en plus vivement, amenant la naissance progressive d’une parfaite clarté qui remplit d’abord le cerveau, puis s’étend à l’extérieur pour former l’auréole rayonnante qui est le capuchon déployé du cobra royal.

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Les cheveux deviennent des rayons de lumière dorée. Ainsi, naît la voyance discriminante qui sépare l’erreur de la vérité. C’est une description très précise du mécanisme subtil de l’illumination produite par la pratique de Sophia. Son résultat est la clairvoyance qui permet de rencontrer réellement la déesse dans son paradis pour recevoir ses enseignements. Les textes sacrés décrivent l’illumination comme un éveil hors du sommeil. L’ignorance est un espace rempli de formes pensées élémentales qui deviennent des créatures se nourrissant de l’énergie cognitive humaine dévoyée. Elles ont leur propre royaume qui n’est pas celui de l’humain mais celui qu’il crée sous leur empire. Elles entravent le passage de la lumière à laquelle elles s’opposent en la souillant. La sagesse de Sophia est un espace claire et vide rempli de lumière vivante et créatrice, hors duquel émergent tous les bienfaits intellectuels de la déesse.

Le serpent dans différents cultes

Le serpent se retrouve dans l’iconographie de plusieurs dieux et déesses grecques : Athéna, Asclépios et Dionysos.

 

a. Le serpent dans le culte d’Athéna

Athenâ, une autre déesse de la sagesse, cache le serpent derrière son bouclier. Sa ceinture est faite de deux serpents noués. Elle porte des bracelets en forme de serpents aux poignets et aux biceps. Ses attributs sont la chouette, la lance et le bouclier, au milieu duquel se trouve une tête de Gorgone appelée Gorgonéion, réputée éloigner le mauvais sort et les mauvais esprits. Il s’agit de la tête de Méduse.

C’est le sculpteur Phidias Pheidias (óphídion = petit serpent et odoús = dent) qui a réalisé la statue de la Vierge Athéna. Cette statue était considérée comme une image divine, digne de recevoir l’émanation céleste d’Athéna. Le nom Pheidias indique qu’il suivait la voie de réalisation de la dent du serpent. La dent qui est cachée dans le nom du sculpteur Phidias est une référence à la morsure qui produit la piqûre expliquée plus haut. Son nom désigne un pratiquant de Sophia.

b. Le serpent dans le culte d’Asclépios

Asclépios Asklêpiós en Grèce, Esculape Aesculapius à Rome, est une déité de la médecine. Il est le fils d’Apollon et Aegla Coronis dont le nom signifie aigle femelle, couronne, halo solaire ou lunaire, splendeur. L’aigle indique une vue perçante qui porte loin avec un halo qui entoure sa tête. Ceci décrit une prêtresse pratiquante secrète du serpent Sophia et appartenant certainement à l’ordre des Pythies, puisque la naissance d’Asclépios a été prophétisée par la Pythie d’Apollon à Delphes.

Le dieu de la médecine naît à Epidaure, son sanctuaire principal, où se trouve une tholos. Il tient un bâton autour duquel s’enroule le serpent sacré. Il a le pouvoir de guérir les maladies. On pense aujourd’hui que ce serpent est la couleuvre d’Esculape, constrictive et arboricole. C’est-à-dire qu’il s’enroule autour des branches qu’il enserre. Il procède de même avec ses proies, comme son cousin le boa constrictor.

Le bâton tenu par le dieu représente le tronc-colonne vertébrale sur lequel s’enroule le serpent Sophia, qui est aussi le Python Púthôn sacré des pythonisses (latin pythonissa), autre nom des Pythies d’Apollon. Pendant son incarnation terrestre, Asclépios était donc un guérisseur, pratiquant secret de la déesse Sophia, qui lui a donné la connaissance de l’exorcisme médical. C’est par le pouvoir du serpent, développé à l’intérieur de son corps, qu’il perçoit la maladie par clairvoyance, comme une infestation subtile. Il la dissout, en dirigeant cette force sur l’organe atteint, comme le faisait la déesse Sif. Cette médecine spirituelle s’accompagnait de médicaments rendus efficaces par ce dégagement initial. Les patients guéris ont déposé dans ses temples de nombreux ex-voto qui en témoignent.

c. Le serpent dans le culte de Dionysos

Il existe une autre étymologie pour Ophite (ophítês – theós – phytón = semblable à un serpent – dieu – végétal ou bourgeon qui pousse) qui signifie alors une plante divinisée poussant comme un serpent. C’est la définition d’une plante grimpante dont le lierre donne un bon exemple. Il grimpe sur le tronc de l’arbre qui lui sert de support et monte ainsi jusqu’à son sommet. Dans la Grèce antique, on l’utilisait pour faire des couronnes. C’était l’ornement de Dionysos dont le sens est désormais limpide. Le lierre qui reste toujours vert symbolise l’accès au hauts pouvoirs psychiques représentés par la couronne. C’est aussi le sceptre thyrse thýrsos dionysiaque ou bâton de Dionysos orné de feuilles de lierre. Il possède le même sens.

d. Le serpent en Égypte

 

En Égypte, le serpent est abondamment représenté sur la hiéroglyphique des temples. Il se nomme uraeus et représente un cobra femelle royal qui est la déesse Ouadjet, particulièrement pratiquée dans le nord du delta du Nil, à Bouto Boutô, homophone de Puto Putho, ancien nom de Delphes et siège des Pythies. Ceci signifie que les Pythies avaient développé le pouvoir du serpent Python, Puthon duquel elles tiraient leur don de prophétie. Le cobra royal est le naja appelé en Inde naga car le son « g » peut être dur ou mou. Par anagramme, on obtient ajna qui est le nom sanscrit du 3e œil. Or, le serpent uraeus est toujours posé sur cet endroit dans la statuaire égyptienne, pour indiquer les pouvoirs psychiques des initiés qui pratiquent le serpent.

Les maîtres anciens prétendaient, à juste titre, que la déesse Ouadjet était protectrice des pharaons, c’est-à-dire des initiés ayant reçu des dieux les pouvoirs psychiques et étant autorisés à les utiliser pour le bien des êtres. Le serpent est aussi Apophis Ápophis (Sophia – paîs = déesse de la sagesse Sophia – enfant) associé au chaos car il représente le serpent astrologique des douze constellations enfantant une incarnation terrestre. Il s’agit d’un acte de pure sagesse car cette incarnation résulte des actions de la vie passée, qui correspondent à la partie matérielle et non purifiée du serpent de la connaissance. Seule la déesse Sophia qui connaît la destinée de chacun peut programmer astrologiquement une incarnation.

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e. Le serpent en Inde et au Tibet

Dans le Bouddhisme tibétain, la déesse de la sagesse est appelée Prajñaparamita (prajña-paramita = sagesse-perfection) pour signifier la perfection de la sagesse. Elle est la parèdre de la déité masculine de la sagesse Manjushri, qui représente le pratiquant recherchant la sagesse justement octroyée par Prajñaparamita. Dans le nom sanscrit de la déesse, paramita (perfection) est un qualificatif destiné à l’honorer. Plus simplement, la déesse bouddhiste Prajna prajña est donc équivalente à la déesse grecque Sophia. Quelle est cette sagesse appelée prajna recouverte par des siècles d’exégèses ?

Prajna est la sagesse qui naît de la concentration du souffle vital à l’endroit du 3e œil. On observe que les consonnes « g » et « j » permutent dans les translitérations phonétiques, ce qui nous amène à agna masculin et agni féminin. À l’origine, le dieu indien du feu Agni était donc féminin et il a été masculinisé, de même que le 3e œil. Ces étymologies décrivent la déesse serpent émergeant au niveau du 3e œil de la prêtresse comme un souffle chaud qui brûle les impuretés, libérant de ce fait la clairvoyance et la sagesse. Les najas sont abondamment représentés dans la statuaire bouddhiste du Cambodge car le bouddha est descendu du ciel sur un arc-en-ciel dont les rampes étaient deux najas, mâle et femelle, ceci pour indiquer l’union des deux serpents arc-en-ciel de sexes opposés.

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merci au site :

https://www.morpheus.fr/le-culte-secret-de-la-deesse-sophia/

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https://youtu.be/4l7jDoBNDVg

Pour les passionné-es d' histoire, je conseille cette vidéo très intéressante qui m' a appris beaucoup de détails sur nos racines celto-germano-indo-européennes, sur les peuplements et migrations anciennes :

Les peuples des mégalithes", Scythes, peuples des steppes pontiques Kourganes et Jamna, tribus celto-gauloises, Wisigoths, Ostrogoths, Vandales, Burgondes, Francs, Normands…

L' auteur parle :

-de leurs cultures et spiritualités, avec une intrication entre les deux mondes visible et invisible.

Des récits de leurs traditions orales et des écrits  de la poésie scaldique islandaise ancienne de l' Edda. très sophistiqués, comme le furent  les triades celtiques.

-De la symbolique de certains animaux, notamment les chevaux et cervidés.

-De la foi germanique dans le destin : le wyrd; des trois  nornes nordiques qui tissaient la destinée des humains.

-De la priorité de comprendre , d' accepter sa destinée ( gaefa) et de la réaliser , au sein du clan.

- De l' esprit de lutte, de force vitale : »Vig Hugr »

-De la foi et confiance dans sa destinée, qui était reconnue individuellement et publiquement.

Ils reconnaissaient cependant que la destinée était en perpétuel mouvement. L' action permanente et le rythme vital étaient donc des valeurs de base.

La peur était considérée comme une défaillance grave, une manifestation de doute face au destin et à la foi dans les divinités.

- L' honneur familial était sacré:« Hamingja ».

-Il existait aussi des assemblées libres où les décisions pour le clan étaient prises.

- De l implantation au 9e siècle en Francie dans ce qui allait devenir le comté puis duché de Normandie.

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For history buffs, I recommend this very interesting video which taught me a lot of details about our Celtic-German-Indo-European roots, about ancient settlements and migrations.

 

 The peoples of the megaliths", Scythians, peoples of the Kurgan and Jamna Pontic steppes, Celtic-Gallic tribes, Visigoths, Ostrogoths, Vandals, Burgundians, Franks, Normans...

The author speaks: -of their cultures and spiritualities, with an intricacy between the two visible and invisible worlds. Accounts of their oral traditions and writings of ancient Icelandic skaldic poetry from the Edda. very sophisticated, as were the Celtic triads.

-The symbolism of certain animals, especially horses and deer.

-Of Germanic faith in destiny: the wyrd; of the three norns who weaved the destiny of humans.

-The priority of understanding, accepting one's destiny (gaefa) and realizing it, within the clan.

- Of the spirit of struggle, of vital force: "Vig Hugr"

-Faith and confidence in his destiny, which was recognized individually and publicly.

They recognized, however, that destiny was in perpetual motion.

Permanent action and vital rhythm were therefore basic values.

Fear was considered a serious failure, a manifestation of doubt in the face of fate and faith in deities. - Family honor was sacred: "Hamingja". -There were also free assemblies where decisions for the clan were made. - From the establishment in the 9th century in France in what was to become the county and then the duchy of Normandy.

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     « Au dela de la peur «: Un autre livre prophétique de Don Miguel Ruiz

extrait "d'Au dela de la peur."

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extrait :

« Retour à la vie…

Je n' étais plus le même, pour la première fois, j' ai ouvert les yeux…Je vivais dans un faux rêve,

L' Ange de la mort se changea en Ange de la vie, transformant le drame de la vie en comédie,

Mort tu as été, dans la tombe de l' illusion ton mental dormait,

La longue léthargie de l' enfer, tes yeux ont changé, de nouveau ils admirent la beauté,

Le réveil de ma conscience divine, une divinité inconsciente y gisait,

Maintenant de mon être l' amour émane… »

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Don Miguel Ruiz, descendant d' une lignée de chamans Toltèques, -les Naguals ou « chevaliers de l' aigle »- ,annonçait l' entrée dans l’ère du 6e soleil le 11 janvier 1992.

Avec une vibration plus rapide et plus douce de lumière qui modifierait petit à petit l' ADN.

Les Naguals étaient chargés de protéger les connaissances traditionnelles, de manière orale et de les enseigner, de nouveau, au plus grand nombre, lorsque l' humanité en aurait de nouveau besoin.

Avec une nouvelle programmation céleste, les traditions ésotériques et connaissances secrètes anciennes seraient divulguées de nouveau.

Il explique que cette nouvelle lumière, avec plus de rayons ultraviolets, issue de la ceinture photonique de la Nébuleuse dorée des Pléiades, est un catalyseur de changements et une occasion de se nettoyer pour Gaia.

Et évidemment ,aussi, pour les espèces qui y vivent, qui sont entraînées avec elle dans ce processus karmique de nettoyage des traumas passés et d' élévation vibratoire.

Les précurseurs de l' ère du 6e soleil vivent déjà avec nous et les connaissances de « l' âge d' or « précédent du 3e soleil réapparaissent : l' humanité d' il y a plus de 20 000 ans.

Trois niveaux de maitrise sont indispensables pour s' élever de nouveau :

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Maitrise de la conscience :

Les humains rêvent jour et nuit. Quelle liberté recherche t' on ? Toute notre existence est un rêve qui se déroule au sein d une structure matérielle.

Le fait de rêver donne un sentiment de réalité.

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Maitrise de« la traque » :

contrôle des émotions et de la transformation. Remise en question des systèmes de croyances. Lâcher prise.

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Maitrise de l' intention.

Tout est énergie en mouvement en communion avec la source de création universelle.

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Quelques informations fondamentales que la plupart ont oublié :

-l' espace entre les atomes est plus grand que la masse des atomes.

-On ne voit que de la lumière réfléchie par des objets.

-Nous créons notre réalité extérieure.

-Nous sommes des magicien-nes. Un point de vue modifié change la réalité.

-L' univers est rempli d éther. Il permet la transport de l' information. La lumière apporte énergie et informations pour créer la vie sous la forme de matière et de lumière condensée.

-L' énergie ne disparaît jamais, elle se transforme.

-Le mental, les émotions sont des énergies.

-Tous les êtres humains forment un seul organe pour Gaia qui est, elle aussi, à son niveau, un être vivant, à l' échelle planétaire et cosmique.

Tout comme les plantes et les arbres forment son organe respiratoire.

L' atmosphère sa peau, les minéraux son ossature etc ...

-Gaia a aussi une âme, un psychisme et un métabolisme.

-Tous les êtres terrestres vivants sur Gaia se nourrissent de lumière.

-La spécificité des êtres humains est d' avoir des cerveaux qui transforment la lumière en une énergie émotionnelle éthérique extrêmement puissante. Qui nourrit notre psychisme. Mais pas que.

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Beaucoup de ces informations apparaissent encore dans des mythologies ou des traditions, notamment parmi les peuples premiers, les Aborigènes, les Amérindiens, les peuples Maoris, Polynésiens ...

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Autre donnée majeure:

La race humaine est loin d' être la seule à habiter Gaia.

Notre énergie éthérique nourrirait aussi le psychisme d' êtres invisibles qui cohabiteraient sur Gaia avec nous, essentiellement sur des plans subtils et contrôleraient l' humanité dans ce but. Elle leur permettrait d' assurer leur survie. Parfois ils s' incarnent aussi dans la matière et dans des corps humains. Mais ils n' ont pas les même capacités émotionnelles et sont dépendants de notre énergie éthérique.

Nous serions donc une ressource pour eux. Ils aiment provoquer des drames afin de générer la peur car ce sont les énergies émotionnelles négatives dont ils se nourriraient.

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Don Miguel Ruiz donne aussi les moyens de résister à la coercition de ces êtres : s’éveiller, devenir conscients et surtout émaner de l énergie émotionnelle d' amour afin qu' ils n aient plus de nourriture et qu' ils finissent par abandonner leur contrôle de cette planète, dont ils entretiennent les vibrations basses, par la division et la discorde entre les nations.

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       Des centaures, sagittaires, sirènes, dragons, griffons, lions, des oiseaux, un cavalier pourchasse un cerf, un héros affronte un lion, un acrobate fait une roue de son corps, un visage barbu surgit des feuillages, des œufs, pommes de pin, croissants de lune, étoiles, volutes, dessins graphiques entrelacés de nœuds, des hommes-arbres et arbres de vie stylisés; Ce décor carnavalesque n’est à l’évidence pas tiré de la Bible.

Je vous invite à découvrir cette vidéo excellente qui explique l' origine de cette symbolique animiste païenne avec de très nombreux exemples.

Ils détaillent, comment, jusqu' au 12° siècle, l' art roman était en fait un art celto-gallo-chrétien, qui a repris la mythologie spirituelle, les légendes et les croyances mystiques gauloises, très différentes de celles du monde gréco-romain

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https://youtu.be/Dax28ZmhUD8

Alors que la culture gréco-romaine se transmettait par des écrits et que son art honorait la beauté extérieure et les reproductions idéales de choses et d' êtres ; dans le monde celtique, de transmission orale, c' est l' art qui codifiait la culture; les images codées remplaçaient l' écriture et fournissaient les informations religieuses et mystiques, -comme en Egypte ancienne-, notamment les croyances d' espérance en l' au delà, en la réincarnation et les communications avec le monde des ancêtres et des esprits.

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Tout comme l' ont fait, au 16° siècle, les Amérindiens, les Gaulois ont alors conservé leur mythologie et imaginaire ancestral et les deux ont finalement fusionné, petit à petit, dans une première étape.

Les maitres d' œuvres Gaulois ont intégré dans les premiers lieux de cultes gallo-chrétiens , les personnages chimériques, les motifs géométriques de croix celtiques ou de nœuds sans fin, et souvent même réemployé les pierres de taille sculptées, avec leurs sculptures, bas-relief et artefacts ancestraux.

Tout comme on retrouvera, dans beaucoup de cathédrales gothiques, des références aux runes normandes et scandinaves.

​Il faut se souvenir aussi que ce qu' on appelle l' « art Roman Normand « fit la jonction entre l' art roman et l' art gothique avec les premières voutes d' ogives et des arcs brisés, en plus des arches romanes .

Cette culture Normande a d' ailleurs propagé dans une grande partie de l' Europe de l' époque, non seulement les influences nordiques, mais aussi , orientales byzantines, italiennes et sarrasines. Par exemple, lorsqu’elle s est établie au 11° siècle en Sicile et dans le sud de l' Italie.

« Une pierre de plus », dans le jardin, des réactionnaires, qui propagent le mensonge de nos racines chrétiennes uniques et pures.

Rappelons que c' est le pape Grégoire "le grand ", qui à partir de la fin du 6° siècle a décidé d' accélérer la christianisation du paganisme .

Ils ont " adapté les symboles de 'l ancien culte aux préceptes de l' Evangile, intégré les paroles de Jésus Christ aux coutumes locales, les sanctuaires païens ont été détruits ou se sont métamorphosés en églises".

"Les fêtes des anciens dieux se sont mutées en fêtes des Saint-es, les attributs des premiers passant aux second-es. Ils ont conservé, souvent, les même sanctuaires, mais changé les reliques, et , comme dans le cas des "Vierges noires", gardé les même idoles, mais le culte a évolué de la fécondité d' Isis à la Mère Marie ou des Matrae, d Ana, de Dana, à Sainte-Anne, la grand mère du Christ.

Puis, à partir du 12° siècle, les représentations celto chrétiennes furent pour la plupart, remplacées par les symboles bibliques.

Ce qui ne signifie pas que les cultes celto-chrétiens furent stoppés.

Cette présentation de Raymond Delavigne explique aussi de quelle manière, le patrimoine légendaire gaulois animiste resta largement imprégné dans les traditions jusqu’ au moyen-âge : déesses et dieux, saintes et saints, géants et nains, dragons et fées…

Et fut à l origine de la toponymie de nombreux lieux, noms de rivières, quartiers et villes de la région francilienne, par exemple.

L'exemple de l’eau symbolique et sacrée en Île de France

https://youtu.be/Dax28ZmhUD8

https://www.academia.edu/7949792/Mythologie_en_Île_de_France

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https://youtu.be/zmEScIUcvz0

Une vidéo en anglais qui détaille "la thèse Flavienne" selon laquelle c' est la dynastie des Flaviens, qui est à l' origine de la création des évangiles, avec l' aide de Flavius Josephe et de quelques familles et intellectuels amis. Elle détaille également les points communs parallèles entre les campagnes militaires de Vespasien et surtout Titus lors de la guerre de Judée et les épisodes du ministère de Jésus. 

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HISTORY - VI° SUN 

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"Beyond fear" Another prophetic book by Don Miguel Ruiz

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extract :

"Back to life ... I was no longer the same, for the first time, I opened my eyes ...

I was living in a false dream,

The Angel of death turned into the Angel of life,

Turning the drama of life into a comedy,

Dead you were ,in the grave of illusion your mind was sleeping,

Hell's long lethargy, your eyes have changed, again they admire the beauty, the awakening of my divine consciousness, an unconscious deity lay there, now love emanates from my being ... "

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Don Miguel Ruiz, descendant of a line of Toltec shamans - the Naguals or "eagle knights" - announced the entry into the era of the 6th sun on January 11, 1992.

With a faster, smoother vibration of light that would gradually change DNA.

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The Naguals were responsible for protecting traditional knowledge orally and teaching it again to as many people as possible when humanity would need it again.

 

With new heavenly programming, esoteric traditions and ancient secret knowledge would be revealed again.

 

He explains that this new light, with more ultraviolet rays, coming from the photonic belt of the Golden Nebula of the Pleiades, , is a catalyst of changes and an opportunity to cleanse itself for Gaia.

 

And obviously, too, for the species that live there, who are drawn with it in this karmic process of cleaning up past traumas and vibratory elevation.

 

The forerunners of the 6th sun era are already living with us and knowledge of the previous “golden age” of the third sun reappears: the humanity of over 20,000 years ago.

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Three levels of mastery are essential to rise again:

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Control of consciousness: humans dream day and night. What freedom are we looking for? Our whole existence is a dream that takes place within a material structure. Dreaming gives a feeling of reality.

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Control  of "stalking": control of emotions and transformation. Questioning belief systems. Let go.

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Control  of Intention.

Everything is energy in movement in communion with the source of universal creation.

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some basic information that most have forgotten:

-the space between atoms is greater than the mass of atoms.

-We only see light reflected by objects.

-We create our outer reality.

-We are magicians. A changed perspective changes reality. The universe is filled with ether. It allows the transport of information.

Light provides energy and information to create life in the form of matter and condensed light.

Energy never disappears, it keep  transforming. 

-The mind, the emotions are energies.

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-All human beings form a single organ for Gaia who is also, at its level, a living being, on a planetary and cosmic scale. Just as plants and trees form its respiratory organ.

The atmosphere its skin, the minerals its bones etc ...

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-Gaia also has a soul, psyche, and metabolism.

-All terrestrial beings living on Gaia are fed with light.

-The uniqueness of human beings is to have brains which transform light into extremely powerful etheric emotional energy. That feeds our psyche. But not only.

Much of this information still appears in mythologies or traditions, especially among the first peoples, Aborigines, Amerindians, Maori peoples, Polynesians ...

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Other major data: The human race is far from the only one inhabiting Gaia.

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Our etheric energy would also nourish the psyche of invisible beings who would cohabit with us on Gaia, essentially on subtle plans and control humanity for this purpose.

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It would allow them to ensure their survival.

Sometimes they are also embodied in matter and in human bodies. But they do not have the same emotional capacities and are dependent on our etheric energy.

 

We would therefore be a resource for them. They like to cause drama in order to generate fear as these are the negative emotional energies that they would feed on.

 

Don Miguel Ruiz also gives the means to resist the coercion of these beings:

to awaken, to become conscious; 

And above all to emanate  emotional energy of love so that they have no more food and that they end up giving up their control of this planet, of which they maintain the low vibrations, by the division and the discord between the nations.

 

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Centaurs, sagittarians, mermaids, dragons, griffins, lions, birds, a horseman hunts a deer, a hero faces a lion, an acrobat makes a wheel of his body, a bearded face emerges from foliage, eggs, pine cones , crescent moon, stars, volutes, graphic designs intertwined with knots, stylized tree-men and trees of life : this carnival decor is obviously not taken from the Bible.

 

I invite you to discover this excellent video which explains the origin of this pagan animist symbolism with  many examples. They detail how, until the 12th century, romanart  was in fact a celto-gallo-christian art, which took up spiritual mythology, legends and Gallic mystical beliefs, very different from those of the greco-latin world.

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 https://youtu.be/Dax28ZmhUD8

While greco-roman culture was transmitted through writings and its art honored outer beauty and ideal reproductions of things and beings; in the Celtic world, of oral transmission, it is art which codified culture; the coded images replaced the writing and provided the religious and mystical information, - as in ancient Egypt -, in particular the beliefs of hope in the "after world" , in reincarnation and communications with the world of the ancestors and the spirits.

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Just as the Amerindians did in the 16th century, the Gauls then kept their ancestral mythology and imagination and the two finally merged, little by little, in a first stage.

The gaulish masters of works incorporated in the first places of gallo-christian worship, chimerical characters, geometric patterns of celtic crosses or endless knots, and often even re-used carved ashlars, with their sculptures, bas-relief and ancestral artefacts.

Just as we will find, in many gothic cathedrals, references to norman and scandinavian runes. It should also be remembered that what is called "norman roman art" made the junction between roman and gothic art with the first ribbed vaults and pointed arches, in addition to the roman arches.

 

This Norman culture moreover spread throughout much of Europe at the time, not only nordic influences, but also, eastern byzantine, italian and saracenic influences. For example, when it settled in the 11th century in Sicily and southern Italy.

"One more stone", in the garden, of the reactionaries, who propagate the lie of our unique and pure christian roots. Let us recall that it is pope Gregory "the great", who from the end of the 6th century decided to accelerate the christianization of paganism.

 

They "adapted the symbols of the old worship to the precepts of the gospel, integrated the words of Jesus Christ into local customs, pagan shrines were destroyed or metamorphosed into churches". "The feasts of the old gods have changed into feasts of the holy, the attributes of the first passing to the second. They have often kept the same shrines, but changed the relics, and, as in the case of the" black virgins  ", kept the same idols, but the cult has evolved from the fecundity of Isis to the Mother Mary or of the Matrae, of Ana, of Dana, of Sainte-Anne, the grandmother of Christ.

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Then, from the 12th century, celto christian representations were for the most part replaced by biblical symbols. This does not mean that the celto-christian cults were stopped.

 

This presentation by Raymond Delavigne explains how the legendary gallic animist heritage remained largely steeped in traditions until the middle ages: goddesses and gods, saints and saints, giants and dwarfs, dragons and fairies ... And was at the origin of the toponymy of many places, names of rivers, districts and cities of the Ile-de-France region, for example.

The example of symbolic and sacred water in Île de France

https://youtu.be/Dax28ZmhUD8

 

https://www.academia.edu/7949792/Mythologie_en_Île_de_France

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https://youtu.be/zmEScIUcvz0

A video in English which details "the Flavian thesis" according to which it is the dynasty of the Flavians, which is at the origin of the creation of the gospels, with the help of Flavius ​​Josephe and of some families and intellectual friends.

 

It also details the parallel commonalities between the military campaigns of Vespasian and especially Titus during the Judean War and the episodes of the ministry of Jesus.

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